Histoire de la paroisse Saint-Joseph de Carleton/Notes explicatives
NOTES EXPLICATIVES[1]
Note I
TREATY WITH THE INDIANS
At a Grand Meeting of the Indians at Menaquashe, in the Harbour of the River St. John, near Fort Howe, on Thursday, the 24th September, 1778.
Present on the part of King George the Third : —
Michael Franklin, Esq’r, Superintendent of Indian Affairs,
Major Studholme, Commanding His Majesty’s Garrison at Fort Howe,
Capt. Mowatt, Commanding His Majesty’s Ship Albany,
Rev. Mr. Bourg, Missionary of the Indians, James White, Esq’r, Agent for Indian Affairs, at St. John, and several other officers and gentlemen.
Present on the part of the Indians : —
Pierre Thomas, Supreme Sachem or Chief of St. John’s River.
François Xavier, 2d Chief, Zackareen, Nicholas Ackmobish, Francis St. Aubin, Jean Baptiste La Porte, captains.
Pierre Turtou, Pierre Paul Neptan, Paulsis, Jeanwishe, Nicholas Gaudin, Pierre Paul, Pierre Joseph, Michael Alnowishe, (Principal Indians), Malecete Indians of the River St. John.
Jean Baptiste Arimph, 2d Chief, Louis Augustin, captain, Antoiness Deacon, Francis Joseph Arimph, captain, Mickmacks of Richebouctou.
Antoine Arnau, captain, Jean Baptiste Heart, principal Indian, Michael Arginau, chief, Pierre Bernard Cataup, captain, Joseph Portis, captain, Mickmacks of Chignectou.
Francis Joseph Istashe, captain, Mickmack of Pogmouche.
Michael Sagaket, Charles Nocout, (Principal Indians), Mickmacks of the Basin of Merias.
Suit les dispositions du traité avec les sauvages, fait en septembre 1778.
Le premier résultat fut la déclaration suivante envoyée à John Allan, agent des Américains et signée par les principaux chefs : —
To John Allan and his Associates at Machias.
The Chiefs and Great Men of the Malecete and Mickmack Indians hereby give thee notice.
That their Eyes are now open and they see clearly that thou hast endeavoured to blind them to serve thy wicked purposes against thy Lawful Sovereign, King George, our forgiving and affectionate Father.
We have this day settled all misunderstanding that thou didst occasion between us and King George’s men.
We now desire that thee and Preble, and thy Comrades, will remain in your wigwams at Machias, and not come to Passamaquadie to bequile and disturb our weak and young Brethren. We will have nothing to do with thee or them or with your storys, for we have found you out ; and if you persist in tempting us, we warn you to take care of yourselves. We shall not come to Machias to do you harm, but beware of Passamaquodie for we forbid you to come there.
Chief of Richeboutou an in behalf of the Mickmacks.
Francis Xavier x,
Chiefs of the Melecetes and in their behalf.
Note II
EXPOSÉ DE M. BOURG À SON EXCELLENCE LORD DORCHESTER
TOUCHANT SES DROITS À UN SALAIRE DU GOUVERNEMENT
Au très honorable Gui Lord Dorchester, Capitaine Général et Gouverneur en chef des Colonies de Québec, Nouvelle-Écosse et Nouvelle Brunswick et les dépendances, général et commandant en chef des forces de Sa Majesté dans les dites Colonies et sur L’Isle de Terreneuve.
Exposé du cas du Sieur Joseph-Mathurin Bourg, prêtre, missionnaire résidant à Carleton, Baye des Chaleurs.
En 1773, L’exposant fut nommé par Monseigneur Bryant, Évêque de Québec, du consentement et avec l’approbation de Son Excellence Milord Dorchester (alors Sir Gui Carleton et commandant en chef de la province) pour succéder à Monsieur Bailly en qualité de missionnaire pour tous les Français et Sauvages de la Baye des Chaleurs, de la rivière St-Jean et de la Nouvelle-Écosse, avec l’assurance d’un salaire annuel de cent livres sterlings, qui lui fut payé exactement pendant quelques années, par le Gouvernement d’Halifax.
En 1784, le nomme pour déservir une chapelle que les Catholiques-Romains venaient de bâtir à Halifax et de se fixer en cette ville, au cas qu’il voye apparence d’une honnête subsistance ; il se rendit en obéissance de ses ordres à sa sus-ditte destination ou étant arrivé, il eut lieu de juger qu’avec son dit salaire de cent louis sterlings il pouvait vivre décemment, en conséquence, il retourne aussitôt à la Baye pour chercher ses effets.
Pour subvenir aux frais le dit exposant se vit obligé de demander sa pension pour……84 ; le secrétaire M. Buckley répondit que le trésor se trouvait dans ce moment épuisé, mais que sous peu il aurait des fonds qui le mettrait à même de faire, ce payement.
La saison avancée n’admettant aucun délay, il entreprit ce voyage qui fut également long, pénible et dangereux. Malgré toute la diligence qu’il put faire, ce retardement joint à d’autres circonstances imprévues empêchèrent son retour à Halifax pour cet hiver où il se rendit au petit printemps. Les démarches dispendieuses l’obligèrent aussitôt son arrivée de renouveller ses démarches pour son salaire des années…… 84 et 85 ; son application d’abord ne rencontra aucunes objections, ensuite elle fut discutée. L’exposant fut remis de jour en jour, de terme en terme jusqu’à ce qu’à la fin, conduit par toutes les passes, la réponse se termina par un refus.
Ainsi L’exposant cruellement trompé dans ses justes attentes, a la mortification de ne pouvoir se décharger des dettes contractées au service et sous la foi du Gouvernement.
Après d’incroyables, zélés travaux et fatigues dans ces troubles passés pour tâcher d’apaiser les nations, et les contenir dans leurs justes devoirs envers leur souverain, il se voit au retour de l’âge avec une constitution épuisée ; et ce qui est mil fois pire pour un homme de son état, avec une réputation flétrie par l’insolvabilité si le Gouvernement ne prend cet exposé en considération.
Le Sieur Joseph Mathurin Bourg, prêtre missionnaire résidant à Carleton, Baye des Chaleurs, a l’honneur de représenter très humblement à Votre Excellence, que L’exposé cy-dessus, est depuis plusieurs années le sujet du plus cuisant chagrin de votre mémoréaliste poussé par la nécessité qui pouvait seule résoudre à cette démarche, il le soumet avec confiance à la considération de Votre-Excellence, la suppliant de vouloir bien lui accorder tels secours qui paraîtront de justice et d’équité lui être dus et convenir à sa situation peinte dans son sus-dit Écrit et votre mémoréaliste ne cessera de prier pour la conservation de Son Excellence dont il a l’honneur d’être le très humble et fidèle sujet.
Note III
LETTRE DE M. BOURG
Monseigneur,[2]
J’ai eu l’honneur de recevoir l’été dernier la Lettre qui m’était adressée de la part de Sa Grandeur, concernant les pouvoirs qu’elle jugeait à propos de m’accorder, je m’y suis conformé volontier ainsi que je suis dans la disposition de faire en tout ce qu’elle lui plaira m’ordonner.
Sa Grandeur peut être persuadée que je n’aurais pas manqué de lui écrire dans le courant de l’été dernier si je n’avais eu l’espérance d’avoir l’honneur de lui présenter mes très humbles respects de vive voix. Le printems dernier, Monsieur Girouard se trouvant attaqué à la joue d’un mal inconnu se rendit chez moy. Le mal paraissant de jour en jour devenir plus sérieux, nous prîmes le parti de monter à Québec, après sa première relâche, nous nous mîmes aussitôt en route par les Rivières ; mais une abondance d’eau extraordinaire causée par des pluyes continuelles nous obligea après bien des peines et fatigues à relâcher.
À notre retour la maladie du sus-dit, augmentant toujours, il fut extraordinairement frappé de son mal le croyant plus considérable qu’il ne l’était en effet, de sorte qu’après en avoir été expressément prié de sa part, je pris le parti de ne pas l’abandonner et ainsi de différer de faire mes missions de Bonaventure, Percé, etc. ; un moy s’étant ainsi écoulé, le sus-dit se trouvant mieux, de son consentement, je fus faire ma mission de Percé, Rivière-au-Renard, etc., à mon retour trouvant le sus-dit à peu près dans le même état, je pris le partie d’aller passer un moy à Bonaventure où je dois aller passer le carême si Monsieur Girouard ne se trouve pas en état d’y aller.
Lorsque je suis venu à Tracadiès, présentement Carleton, j’ai trouvé une petite chapelle bâtie par ordre du Révérend Père de la Brosse, située directement au milieu de la paroisse. Quelques années après d’un commun consentement des habitans du lieu, je l’ai fait allonger ensuite croyans certainement que ce serait en ce lieu qu’on bâtirait par la suite une église plus considérable, je pris le partie d’acheter cette habitation de l’habitant qui était situé sur cette terre avant la bâtisse de cette chapelle et ensuite de donner gratis à l’église suffisamment de terrain pour le cimetière, la bâtisse d’une église, un presbytère et jardin pour le curé, en outre j’ai obtenu du gouvernement une terre à l’église appartenante peu distante de l’endroit sus-dit.
L’année dernière, lorsqu’il fut question de commencer à
travailler pour la bâtisebâtisse de cette nouvelle église, quelques
habitans ont été contre, fondés sur cecy que la paroisse
établie par les Acadiens ayant été divisée en deux depuis
peu par le gouvernement savoir : Carleton et Maria, il
fallait bâtir au milieu de chaque une Église. Les raisons
qu’on peut alléguer contre sont : Ier que les habitans de
deux sus-dits endroits qui ne forment environ que quatre-vingts
habitans la plus part fort pauvres, ne peuvent
qu’avec peine bâtir une seule Église. 2e les montaignes
étans si près il n’y aura jamais qu’une seule concession.
C’est par conséquent le sentiment de Monsieur Girouard,
ainsi que le mien, qu’il serait à propos qu’elle fut bâtie dans l’endroit où elle est présentement. Je prie Votre
Grandeur de vouloir bien en décider et de me faire savoir
quelles sont là dessus vos volontés qui seront aussitôt
exactement exécutées. Je prends la liberté de présenter à
Sa Grandeur mes très humbles respects ainsi que Monseigneur
Bryant et suis de l’un et de l’autre avec considération
et Respect, de leurs grandeurs Le
très humble et très obéissant serviteur,
Missionnaire.
Carleton, Baye des Chaleurs,
7 février 1789.
La présente est pour vous présenter mes très humbles Respects et informer Sa Grandeur que tous les habitants du lieu, du moins à l’extérieur, se sont rendus aux tendres et vives représentations de Sa Grandeur au sujet de la bâtisse d’une seule Église et cela dans le lieu où était l’ancienne…… plusieurs même ont commencé à y travailler ; mais les sus-dits habitants étant maintenant si traversés et molestés, incertains d’avoir leur grant après les assurances qu’on leur a données entre mains, qu’ils ont jugé à propos, de mon consentement, de faire en sorte d’obtenir leur grant avant que de continuer l’ouvrage, ont député pour cet effet le capitaine Hemond, qui espère ainsi que moy, être dirigé et protégé par Sa Grandeur pour obtenir l’effet de sa demande.
de Sa Grandeur Le
très humble
Et très obéissant serviteur,
Tracadiès dit Carleton.
23 février 1790.
Monseigneur,
J’ai eu l’honneur de recevoir votre dernière en date du 12 octobre par laquelle j’ai été informé que Mr Girouard n’avait pas pu se résoudre à revenir en la Baye des Chaleurs et qu’en conséquence Sa Grandeur désirait me charger de ces missions. Je l’accepte volontier et ferai tout ce qui dépendra de moy, pour m’acquitter dans ces missions de mes devoirs, aussi bien que dans les autres. Si Dieu me donne la santé je le peux facilement en commençans mes tournées de bon printems (ainsi que le dit Sa Grandeur) ce que je ne manquerai pas de faire et les continuer pendant tout le cours de l’été. Sans doute le Ier objet que je dois avoir en vue, c’est le salut des âmes. J’espère qu’il le sera aussi ; mais ainsi que le dit Sa Grandeur à l’égard du temporel, j’y trouverai mon compte. Cependant les années où nous sommes maintenant sont si pauvres en ces endroits que je crois qu’un seul ecclésiastique n’y peut vivre que bien médiocrement…… Je prends la liberté de présenter mes très humbles respects à Sa Grandeur ainsi que de lui souhaiter une heureuse année, bien plus une longue vie et parfaite santé pour l’honneur et le bien de la Religion en ce pays et la satisfaction de tous ses sujets, en particulier de celui qui a l’honneur d’être avec respect de Sa Grandeur, Le
Très humble et très obéissant serviteur
Bonaventure, 3 janvier 1791.
Je passe cet hiver au sus-dit endroit pour préparer les enfants à la première communion.
Il y a quelques familles de Bonaventure et quelques autres de Mamrancouk qui sont allés établir un endroit appelé Réchéboutouk peu distans de Miramichi. Si c’est le plaisir de Sa Grandeur, j’irai de Miramichi les desservir, sans cela je pense qu’ils ne le seront point.
Mr Bourg,
Monsieur,
J’ai vu avec un véritable plaisir par votre lettre du 3 janvier que sans préjudice de votre santé vous pourriez pourvoir aux besoins spirituels de tous les fidèles de la Baie des Chaleurs. Je prie Dieu qu’il répande ses bénédictions sur ces grands travaux que vous entreprenez sans doute en vue de sa gloire.
Comme tout ce qui est au delà de Miramichi se trouve dans la juridiction de Mr Jones, je serais d’avis qu’avant de vous transporter à Richibouctou vous écrivissiez à ce Mons. pour le prévenir et pour savoir s’il n’aurait pas déjà chargé quelqu’un de la desserte de ce poste.
Il y a fort longtemps que je n’ai eu des nouvelles de M. LeRoux. Si vous pouvez en apprendre, tâchez de me les faire savoir.
Je suis bien sincèrement en N. S. J. C.
(Signé) † J. F. Évêque de Québec.
Monseigneur l’Évêque de Québec,
Monseigneur,
Un accident imprévu et très funeste m’oblige d’adresser à Sa Grandeur la présente. J’ai eu l’honneur d’informer Sa Grandeur dans ma dernière que je passais l’hiver à Bonaventure pour l’instruction des enfants à la première communion, ayans été à Tracadiès lieu de ma résidence pour les malades et y passer un moy, il est arrivé par le réchaud posé par les petits servants de messe dans la sacristie où quelques charbons tombés dans la sacristie en mettant le feu en l’ensensoir que l’église est brûlée, tous les vases sacrés, ornements, saintes huiles, en un mot tout ce que l’église possédait et à moy appartement. Conservant les ornements d’Église, j’espère que Sa Grandeur sera touché de ce triste accident et voudra bien dire un mot en ma faveur et celle de mes pauvres habitants aux Messieurs curés. Ils se sont entièrement conformés aux volontés de Sa Grandeur, ont commencé et poursuivent avec courage la Bâtisse d’une nouvelle Église, cependant cette nouvelle perte les affligent et désespèrent pour ainsi dire de pouvoir l’orner étant pauvres sans assistance. J’écris aux Messieurs curés que j’ai eu l’honneur de connaître. Je les invite de vouloir bien se donner la peine d’aller pour ce sujet visiter leurs confrères et s’il y a quelques contributions de vouloir bien les remettre entre les mains de M. Hubert, curé de Québec pour me les faire attenir le printemps prochain.
S’ils veulent nous donner la main je serais reconnaissants, ainsi que mes paroissiens, leurs noms seront écris et conservés et recommandés comme bienfaiteurs de L’église même après mon décès. J’espère que Sa Grandeur voudra bien approuver mes démarches et dire, s’il lui plaît, un mot en ma faveur aux Messieurs Curés et citoyens, même au gouvernement, si Sa Grandeur le juge à propos.
Je prie Sa Grandeur de vouloir bien, s’il est possible, me procurer un calice, saint ciboire, pierre sacrée et autres choses nécessaires pour la célébration de la Ste Messe surtout saintes huiles que j’attends par le porteur de la présente.
Je présente mes Respects à Sa Grandeur et ai l’honneur d’être avec respect d’icelle le très humble
Carleton 8 Février 1791.
Note IV
LISTE DES PRÊTRES ORIGINAIRES DE CARLETON
Le Révd. Jean Louis Allain, né le 11 août 1813, fils de Lazare Allain et de Lucie Landry. Décédé à Bonaventure le 19 juin 1863, à l’âge de 50. Inhumé dans l’église de cette paroisse.
Monseigneur Joseph Théophile Allard, neveu du précédent, né le 27 août 1842, fils du capitaine Pierre Allard et de Marie Gillette Allain ; curé de Caraquet, N. B., et fondateur du Collège du Sacré-Cœur, de cette paroisse. Protonotaire Apostolique.
Le Révd Charles Wilfrid Cullen, fils de Charles Cullen, écr., et de Marie Esther LaBillois, né le 26 juin 1861 ; curé de l’église canadienne de Taunton, Mass., E, U.
Le Révd Joseph Romuald Rodrique Leonard, né le 10 août 1876, fils de J. R. Léonard, écr., marchand, et de Marie Normandeau ; secrétaire du diocèse de Rimouski pendant huit années.
Le Révd Père Jean Joseph Théodore Philippe, prêtre de la Congrégation du Sacré-Cœur d’Issoudun, France ; né le 18 octobre 1871 ; fils de Joseph Phillippe et de Marie Landry, missionnaire aux Îles de l’Océanie.
Note V
LISTE DES MARGUILLERS EN EXERCICE À CARLETON
Mathurin Bujold |
1784 |
Abraham Dugas |
1785 |
Augustin LeBlanc |
1786 |
Pierre Dugas |
1789 |
Paul Babineau |
1795 |
Jean LeBlanc |
1796 |
Zacharie Nadeau |
1797 |
Pierre LeBlanc |
1798 |
Joseph Boudreau |
1799 |
Urbain Laviolette |
1800 |
Louis Estiambre |
1801 |
Joseph Landry |
1802 |
Hilarion Dugas |
1803 |
Alexis Poirier |
1804 |
Louis Allain |
1805 |
Augustin Allard |
1806 |
Joseph Audet |
1807 |
Nicolas Landry |
1808 |
Florent Arseneau |
1809 |
Pieyre Audet |
1810 |
Jean B LeBlanc |
1811 |
Lazare Allain |
1812 |
Isaïe Bernard |
1813 |
Désiré LeBlanc |
1814 |
Joseph Guité |
1815 |
François Laviolette |
1816 |
Hyppolite Landry |
1817 |
Jean LeBlanc |
1818 |
Simon Bernard |
1819 |
Edouard Bourg |
1820 |
Mathurin LeBlanc |
1821 |
Raymond Landry |
1822 |
Magloire Bernard |
1823 |
Romain Bujold |
1824 |
Frédéric Loubert |
1825 |
Avilas LeBlanc |
1826 |
Jean Comeau dit Clair |
1827 |
Joseph Porlier |
1828 |
Luc LeBlanc |
1829 |
Jacques Orfroi |
1830 |
Frédéric Bujold |
1831 |
Isaac Bernard |
1832 |
Sevère Landry |
1833 |
Frédéric Dugas |
1834 |
Maxime Dugas |
1835 |
John Grant |
1836 |
Frédéric Bujold |
1837 |
Michel Gauthier |
1838 |
Joseph Porlier |
1839 |
Jean B. Landry |
1840 |
Eusèbe Arseneau |
1841 |
Pierre Normandeau |
1842 |
Joseph Landry |
1843 |
Frédéric Bujold |
1844 |
Jean Gauvreau |
1845 |
Joseph Meagher |
1846 |
Laurent Landry |
1847 |
Joseph Nadeau |
1848 |
Hyppolite Audet |
1849 |
Nicolas Nonnandeau |
1850 |
Frédéric Arseneau |
1851 |
Pierre Normandeau |
1852 |
François Bélanger |
1853 |
Fidèle Bujold |
1854 |
Etienne Dyotte |
1855 |
Fidèle Landry |
1856 |
Polycarpe Nadeau |
1857 |
Joseph Landry |
1858 |
Isaac Boudreau |
1859 |
Joseph Ahier |
1860 |
Laurent Normandeau |
1861 |
Bénoni Allain |
1862 |
Nicolas Dugas. |
1863 |
Maxime LeBlanc |
1864 |
Frédéric LeBlanc |
1865 |
Urbain LeBlanc |
1866 |
Séraphin Porlier |
1867 |
Hyppolite LeBlanc |
1868 |
Félix Lavoie |
1869 |
Frédéric Normandeau |
1870 |
Constant Landry |
1871 |
Joseph Godbout |
1872 |
Guillaume Normandeau |
1873 |
Frédéric Allain |
1874 |
Charles Bujold |
1875 |
Thomas Rivière |
1876 |
Ferdinand Boudreau |
1877 |
Martin Dugas |
1878 |
Hyacinthe Thibodeau |
1879 |
Théophile Allain |
1880 |
Joseph LeBlanc |
1881 |
Guillaume Normandeau |
1882 |
Benjamin LeBlanc |
1883 |
Joseph Bernard |
1884 |
Joseph Dagneau |
1885 |
Félix Normandeau |
1886 |
Jean Landry |
1887 |
Pierre Dugas |
1888 |
Abraham Landry |
1889 |
Vincent Laviolette |
1890 |
Raymond LeBlanc |
1891 |
Zoël Bernard |
1892 |
Jean Allard |
1893 |
Valentin Landry |
1894 |
Joseph Landry |
1895 |
Joseph Laviolette |
1896 |
Napoléon Saintonge |
1897 |
Théophile Boudreau |
1898 |
Louis-Narcisse Gauthier |
1899 |
Julien Allain |
1900 |
Honoré Landry |
1901 |
Frédéric Bujold |
en juin 1901 |
Alfred Normandeau |
1902 |
Honoré Bernard |
1903 |
Emile Allard |
1904 |
Jean Côté |
1905 |
Guillaume Allaire |
1906 |
Narcisse Boudreau |
1907 |
Guillaume Bariaux |
Note VI
LISTE DES MISSIONNAIRES ET CURÉS DE ST-JOSEPH DE CARLETON.
BAIE DES CHALEURS
Joseph Mathurin Bourg, V. G., (acadien) |
1773-1795 |
Ls. Jos. Desjardins, V. G. (français) |
1795-1801 |
Michel Auguste Amiot |
1801-1806 |
Chrs. Frs. Painchaud |
1806-1814 |
Jos. M. Bellenger |
1814-1819 |
J. Frs. Demers |
19 mai 1819 à août 1819 |
J. Frs. Gagnon |
1819-1824 |
Edouard Faucher |
1824-1828 |
Louis Stanislas Malo |
1828-1843 |
J. B. N. Olscamps |
1843-1844 |
Félix Desruisseaux |
1844-1848 |
F. X. Tessier |
1848-1852 |
J. B. N. Olscamps |
1852-1853 |
Nicolas Audet, V. G. |
1854-1870 |
F. A. Blouin, V. F. |
1870-1895 |
J. O. Normandin, V. F. |
1895-1901 |
J. H. Lavoie, V. F. |
1901-1905 |
J. B. A. Belanger, V. F. |
1905- |
C. J. O. Béland |
1852-1853 |
Magloire Moreau mai |
1868 à septembre 1868 |
Louis Arpin |
1868-1869 |
J. Auger |
1870 |
Théodule Smith |
1873-1874 |
L. I. Bernard, assistant curé |
1875 |
Jos. J. B. Bérubé |
1876-1877 |
J. Zébédée Jean |
avril 1877 à août 1877 |
Jos. A. P. Fortier |
1877-1878 |
Louis Paquet |
1879-1880 |
C. J. O. Béland, assistant curé |
1880-1883 |
F. X. Guay |
1883-1884 |
Augustin Gagnon |
septembre 1884 à octobre 1884 |
R. C. de Beaumont |
1884-1885 |
Jos. Raymond Roy |
1885-1887 |
Alphonse Pouliot |
2 octobre au 20 octobre 1887 |
Joseph M. Dubé |
1888-1889 |
Jos. David Lebel |
1889-1890 |
Elzéar Dufour |
mai 1890 à octobre 1891 |
Nicolas Canuel |
1891-1893 |
J. F. A. Lavoie |
1894-1895 |
S. Maheu, assistant curé |
1895-1896 |
F. X. Lebel |
1896-1897 |
J. R. Asselin |
1897-1898 |
E. P. Chouinard, assistant curé |
1898-1899 |