Fables d’Ésope (trad. Chambry, 1927)/La Muraille et la Cheville
Pour les autres éditions de ce texte, voir La Muraille et la Cheville.
LA MURAILLE ET LA CHEVILLE
Une muraille, percée brutalement par une cheville, criait : « Pourquoi me perces-tu, moi qui ne t’ai fait aucun mal ? — Ce n’est pas moi, dit la cheville, qui suis la cause de ce que tu souffres, mais celui qui me frappe violemment par derrière. »