Fables d’Ésope (trad. Chambry, 1927)/La Muraille et la Cheville

Pour les autres éditions de ce texte, voir La Muraille et la Cheville.

Traduction par Émile Chambry.
FablesSociété d’édition « Les Belles Lettres » (p. 146r).
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LA MURAILLE ET LA CHEVILLE

Une muraille, percée brutalement par une cheville, criait : « Pourquoi me perces-tu, moi qui ne t’ai fait aucun mal ? — Ce n’est pas moi, dit la cheville, qui suis la cause de ce que tu souffres, mais celui qui me frappe violemment par derrière. »