Ennéades (trad. Bouillet)/Corrections
CORRECTIONS.
TOME I.
Au lieu de : |
Lisez : | |
P. lxi, ligne 11 : C’est un miroir dans lequel les objets présentent des apparences diverses selon leurs positions. | C’est un miroir dans lequel on voit les apparences d’objets placés hors de lui. Voy. t. II, p. 144, note 1. | |
P. lxxxvi, ligne 9 des notes : Ictic. | Istic. |
Au lieu de :
P. 262, note 1 : L’opinion de Plotin a été rejetée par Proclus et par Hermias, mais elle a été adoptée par Jamblique et par Damascius.
P. 263, ligne 24 des notes : Pour la comparaison de l’Intelligence divine avec le soleil, Voy. plus haut, p. 194.Lisez :
L’opinion de Plotin a été rejetée par Jamblique, par Proclus et par Hermias, mais elle a été adoptée par Damascius.
La comparaison de l’Intelligence divine avec le soleil est empruntée à l’Ennéade V, liv. VI, § 4 ; t. III, p. 98, ligne 12.TOME II.
P. 305, note 1 : Ce passage est cité par Maxime de Tyr (XV, 5, p. 169).
P. 558, note 1 : Cette idée se trouve exprimée dans beaucoup de passages de Plotin, notamment Enn. II, liv. IX, § 2, t. I, p. 262. Mais les détails que saint Augustin ajoute à sa citation se rapportent au § 11 du livre III de l’Ennéade IV, t. II, p. 288-289.Ce passage doit être rapproché d’un passage analogue de Maxime de Tyr (XV, 5, p. 169).
Cette idée se trouve exprimée dans beaucoup de passages de Plotin, notamment Enn. II, liv. IX, § 2, t. I, p. 262, et Enn. IV, liv. III, § 11, t. II, p. 288-289. Mais les détails que saint Augustin ajoute à sa citation se rapportent à l’Ennéade V, liv. VI, § 4, t. III, p. 98, ligne 12.TOME III.
P. 158, ligne 22 : Le grand et le petit ne sont pas des quantités absolues, mais relatives.
P. 156, note 3 : La pluralité est une quantité quand elle peut se compter : une grandeur, lorsqu’elle peut se mesurer.Le grand et le petit ne sont pas regardés comme des quantités absolues, mais comme des quantités relatives.
La pluralité est une quantité quand elle peut se compter : la grandeur, lorsqu’elle peut se mesurer.