Divagations (1897)/« Un livre comme je ne les aime pas »











Un livre comme je ne les aime pas, ceux épars et privés d’architecture. Nul n’échappe décidément, au journalisme ou voudrait-il, en produit pour soi et tel autre espérons, sans qu’on jette par-dessus les têtes, certaines vérités, vers le jour.

L’excuse, à travers tout ce hasard, que l’assemblage s’aida, seul, par une vertu commune.

À part des poèmes ou anecdotes, au début, que le sort, exagéré, fait à ces riens, m’obligeait (envers le public) de n’omettre, les Divagations apparentes traitent un sujet, de pensée, unique — si je les revois en étranger, comme un cloître quoique brisé, exhalerait au promeneur, sa doctrine.