Discussion Page:Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/504

P. S. Cette lettre vous était destinée depuis longtemps ; elle avait été écrite lorsque je croyais m’éloigner de vous. Aujourd’hui, en recevant la liberté de vous l’envoyer, le gouverneur m’apprend que je dois attendre ici des réponses d’Angleterre. Ainsi je serai des mois à Sainte-Hélène, et Longwood n’y existera pas pour moi : supplice nouveau que je n’avais pas calculé.

Démarrer une discussion sur Page:Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/504

Démarrer une discussion
Revenir à la page « Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/504 ».