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Si les paroles ci-dessus avaient besoin de commentaire, si le sens demeurait, ainsi que dans tant d’autres parties de mon journal, en quelque chose d’incomplet, que l’on ne m’en demande pas davantage ; j’ai recueilli ce qui se prononçait, je ne sais pas au-delà. J’ai déjà averti maintes fois que, quand l’Empereur causait, je ne me permettais ni de questionner ni de disserter sur l’objet de ses récits. Toutefois je puis ajouter, touchant cette célèbre campagne de 1813, que, par divers fragments de conversations éparses de Napoléon que je n’ai point tracés en leur place, j’ai pu me convaincre, en effet, qu’il était loin de

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