Discussion Page:Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/178


Après le dîner, l’Empereur a gagné le salon, et nous a fait asseoir autour de la même table, en séance académique, disait-il. Il s’est mis à dicter quelques objets, qu’il a rejetés après leur lecture, et la conversation alors a repris et s’est fort prolongée, partie sérieuse, partie gaie. Il était près d’une heure quand l’Empereur s’est retiré. Depuis quelque temps nous veillons plus que de coutume ; c’est bon signe, l’Empereur est mieux portant, plus gai, plus causant.

Démarrer une discussion sur Page:Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/178

Démarrer une discussion
Revenir à la page « Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/178 ».