Discussion Auteur:André Léo

À faire modifier

Bibliographies modifier

Biographies modifier

  • Dictionnaire international des écrivains du jour [3] une biographie qui écorche son prénom et d'autres informations (mariage à Malon)
  • https://www.persee.fr/doc/roman_0048-8593_1992_num_22_77_6054
  • Jean Zunino, La Commune et l’École [4]
  • Dictionnaire de la conversation et de la lecture… : supplément offrant le résumé des faits et des idées de notre temps. Tome 4 [[5]]
  • 11 janvier 1872 Le Temps [6]

L’Émancipation nous donne aujourd'hui le sommaire de son numéro saisi le 1er janvier. Le voici :
… 
Le Moyen, par Mme André Léo

  • sur l'exécutrice testamentaire et la justice des choses [7]
  • 1871 : Dépêche Havas sur son allocution au congrès de la Paix [8]
  • 28 septembre 1871 - Le Temps - Dépèche agence Havas - [9]
  • Enterrement de Victoir Noir [10] lettre de protestation d’André Léo
  • Les membres de la Commune et du Comité central [11] emprisonnée

Journaux féminins. — Après La Citoyenne, d'Hubertine Auclert, on annonce La Tribune des Femmes, qui a pour rédactrices Eugénie Pierre, Eugénie Chaminat, André Léo, etc. Sa devise est : Justice aux femmes », et on y revendique l'accession aux emplois masculins. Un autre journal féminin, La Gazette des Femmes, annonce que le nombre des jeunes filles qui suivent îles cours de dessin et de peinture est de 2.221; celles qui sont inscrites aux écoles de musique et Conservatoire, 1.962.

  • Le Temps 16 mars 1869 [13]
  • Le Temps 9 juin 1871 [14]


Éditions en ligne modifier

  • Google La Justice des choses
  • Manifeste [15]
  • … elle publie une série de textes sur la question : des articles dans l’Opinion Nationale, un Manifeste en faveur des droits des femmes en juillet 1868 …
  • [16] signé Une véritable citoyenne
  • colonie américaine en anglais [17]
  • Jacques Galéron Google
  • Le Père Brafort publié dans le Siècle de novembre 1872 à février 1873
  • L’Enfant des Rudères
    • [18] 4 nov 1882 au 2 avril 1883 [19] publication en feuilleton dans La Justice
    • Dictionnaire universel illustré [20]
  • Toinon dans La Terre aux paysans [21] 1886
  • Observations… Google

Critiques modifier

  • Sur le petit moi [22]
  • Sur la famille Audroit [23]
  • la veilleuse … critique acerbe [24]
  • Le Nain jaune [25]
  • Observations d’une mère de famille à M. Duruy [26]
  • Sur la justice des choses [27]
  • 1866 : analyse sur 12 colonnes des œuvres d’André Léo par Horace de Lagardie [28] dans le Journal des débats politiques et littéraires
  • critique sur l’Enfant des Rudères[29]
  • 1882 : 22 Octobre dans La Justice[30]
  • Alice Primi Le Père Brafort : Le roman d’une vie, l’histoire d’un siècle PDF
  • [31] 26 juin 1883 critique de L’Enfant des Rudères à sa sortie chez un éditeur
  • La Revue socialiste 1908 [32]
  • La Fronde 13 décembre 1899 [33]

Présentations wikisource modifier

 Titre et éditions  Genre
1859 :
  
Une vieille fille            Roman Premier roman de Léodile Béra sous le pseudonyme de Léo. « Cette vieille fille, encore jeune malgré son nom, se couvre d’habillements passés de mode et d’un large bonnet destiné à cacher les plus beaux cheveux du monde, afin de paraître réellement vieille et de pouvoir vivre seule, loin de ce monde à la fois brillant et misérable, dont elle connaît à fond les défauts et les vices. L’amour — ce trompeur éternel — lui ravit en un jour ses espérances et ses illusions. La trahison de l’objet aimé la rend misanthrope ; dès ce moment elle n’aime plus que l’humanité. C’est par humanité qu’elle s’attache fortement à l’avenir d’un jeune homme qui devient un moment le fiancé de sa sœur, plus jeune qu’elle de dix années. Mais cette sœur est une coquette qui comprend peu l’amour sérieux et profond d’Albert. Celui-ci aime éperduement cette Pauline qu’il délaissera plus tard pour donner son cœur à la vielle fille. Après mille combats, mille tourments, l’union s’accomplit et le bonheur en est le résultat. » Premier volet d’une trilogie sur le mariage.
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1863 :
  
Un mariage scandaleux          Roman Un mariage dangereux est l’histoire de la mésalliance d’une jeune fille qui préfère un paysan au célibat des filles sans dot. André Léo nous compte ici les préjugés des bourgeois et des paysans avec finesse… et des difficultés pour ceux qui veulent s’en affranchir.


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1864 :
  
Jacques Galéron            Roman épistolaire Ce roman est écrit en une longue lettre et quelques mots de réponse. Mme Élise Vaillant écrit à son ancienne amie de pension, Mme Julie Mireteau, femme d’un recteur d’Académie, pour lui recommander ses protégées. À la mort de sa fille, sur la demande de celle-ci, Mme Vaillant élève comme de sa fille Suzanne, jeune paysanne et sœur de lait de la défunte. Elle en fait une demoiselle et institutrice. Elle lui donne aussi des gages pour satisfaire les parents de Suzanne mais les bourgeois du cru en profitent pour la reléguer au rang de bonne. Arrive au village Jacques Galéron, jeune instituteur qui tombe amoureux de la jeune fille. L’instituteur souffre de l’assujettissement de son rôle au curé qui veut par exemple imposer des livres qui ne conviennent pas pour les enfants. L’histoire se passe avant le ministère Duruy et les bigots du lieux peuvent se lier contre le couple pour obtenir leur éviction.


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1864 :
  
Les Désirs de Marinette          Nouvelle Les exceptionnels talents de chanteuse de Marinette la petite campagnarde sont découverts par des parisiens qui l’aident à faire son entrée à l’Opéra. C’est une ascension inattendue pour une personne dans la misère. Mais Marinette se laisse distraire par les propos amoureux d’un vicomte. Elle délaisse le chant qu’elle devrait travailler et sa famille, mari et enfants, qu’elle abandonne. Le succès déclinant elle se retrouve seule…


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1864 :
  
Les Deux Filles de monsieur Plichon            Roman épistolaire « Étude très intéressante, très soignée et qui dénote un talent supérieur. M. Plichon est un bon bourgeois, type quelque peu prud'hommesque, qui a deux filles, l'une, un ange blond, gracieuse, charmante, gaie, nommée Blanche ; l'autre pâle, grave, aux allures sévères, Edith. Un jeune homme, un ancien viveur repenti, parce que ou quoique ruiné, s'éprend de Blanche. Amour enthousiaste pour le petit ange. Quant à Édith, sa raideur, sa froideur, son indifférence quelque peu agressive la laissent pour ainsi dire sur la lisière de la famille. Son père est sans cesse irrité contre elle, et ne s'épanouit que sous les caresses de Blanche. L'amoureux, William, est admis à faire sa cour, et partage bien entendu les sentiments peu sympathiques inspirés par Édith. En somme, c'est un garçon honnête, travailleur, érudit, aimant la science et les études sérieuses, ayant des convictions arrêtées, sincèrement humanitaire et philosophe. Or, pendant les quelques mois qu'il passe dans la maison, voilà qu'il s'aperçoit que le petit ange est l'égoïsme, la frivolité, le préjugé en chair et en os. Il supporte longtemps des caprices qui le choquent, des théories qui le blessent, des inconsciences méchantes qui le navrent, tandis qu'au contraire toutes ses idées saines, honnêtes, fortes, trouvent un écho dans l'âme et la raison d'Édith. Dénouement : un revirement complet. Le petit ange épousera un imbécile quelconque, Édith deviendra la femme de William. Toute cette marche de sentiments est notée avec une habileté profonde et un sentiment vrai et touchant. Les types sans exagération sont dessinés d'un trait net, clair, saisissant de vérité. » Dictionnaire universel illustré
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1867 :
  
L’Idéal au village            Roman « Se réfugier au village, aller se retremper dans la contemplation des paysages aux larges horizons, éteindre ses fièvres dans le calme profond de la nature, quel rêve pour le Parisien, surmené, et aussi quelle facilité d’avenir pour celui que la fortune a traité avec rigueur ! Hélas ! ce n’est là qu’une illusion. Lucien Marlotte et sa sœur Cécile ont fait ce rêve ; ils sont venus, jeunes et naïfs, s’ensevelir dans un village, et — voici qu’ils se heurtent dès leur arrivée à toutes les mesquineries, toutes les intrigues, toutes les coquetteries qu’ils prétendaient fuir. De la campagne, des promenades en plein air, des rêveries en face du décor superbe des vallées et des collines, nul ne se soucie. La petite bourgeoise de village a ses préjugés indéracinables ; elle ne comprend ni la simplicité ni le laisser-aller ; les femmes ne songent qu’aux toilettes parisiennes, les hommes se disputent les fonctions municipales ; les papotages, les calomnies, la haine et l’envie sont plus à redouter encore dans ce cercle étroit où les heurts sont plus fréquents. Rose, la naïve paysanne, n’est qu’une jolie rouée qui vise un mari riche. Lilia, mariée, pense a faire entrer l’adultère sous son toit. Cependant Cécile, par sa grâce et son intelligence, parvient à se créer une existence heureuse, en épousant l’homme de cœur que tous accusaient d’originalité, sinon de folie, il y a dans ce livre un type de servante de campagne, prétentieuse et méchante, Mme Arsène, qui est une trouvaille. »
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1868 :
  
Attendre-Espérer          Roman Court roman d’André Léo sur comment aider les pauvres à ne plus l’être, aumône versus éducation. Un jeune médecin fortuné soigne gratuitement les pauvres. Il rencontre une jeune veuve titrée qui l’assiste dans ses soins aux malades. Le jeune homme tombe amoureux mais craint d’être repoussé les préjugés de castes étant encore très forts. Le baron, père de la jeune femme est néanmoins un progressiste qui va favoriser la création de l’école pour le peuple et l’idylle des jeunes gens mais un obstacle survient… Roman recommandé par George Sand à Juliette Lambert.


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1868 :
  
Double Histoire             Nouvelle Double Histoire est recommandé par George Sand qui trouve André Léo exceptionnelle. Double Histoire ou le récit de deux vies opposées qui se rejoignent, la jeune ouvrière d’un père alcoolique et le nanti d’une enfance délaissée…
  1. Le Parti républicain avait eu la victoire définitive aux élections du 14 octobre et le maréchal de Mac-Mahon avait dû se soumettre, en attendant de se démettre.
  2. Ouvrages d'André Léo.
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