Discussion:Poésies inédites (Marceline Desbordes-Valmore)

Liste des incipit


Amour
Une lettre de femme — Les femmes, je le sais, ne doivent pas écrire
Jour d’Orient — Ce fut un jour pareil à ce beau jour
Allez en paix — Allez en paix, mon cher tourment
Les cloches et les larmes — sur la terre où sonne l’heure
Un cri — Hirondelle ! hirondelle ! hirondelle !
La feuille volée — Va-t-il écrire à sa maîtresse
Simple oracle —  ???
Les éclairs — Orages de l’amour, nobles et hauts orages
Les roses de Saadi — J’ai voulu ce matin te rapporter des roses
La jeune fille et le ramier — Les rumeurs du jardin disent qu’il va pleuvoir
L’entrevue au ruisseau — L’eau nous sépare
L’image dans l’eau — Fontaine, fontaine, ton eau coûte cher !
L’eau douce — Pitié de moi ! j’étais l’eau douce
La voix d’un ami — Si tu n’as pas perdu cette voix grave et tendre
L’ami d’enfance — Un ami me parlait et me regardait vivre
Trop tard — Il a parlé. Prévoyante ou légère
Dernière entrevue — Attends, nous allons dire adieu
L’esclave et l’oiseau — Ouvre ton aile au vent, mon beau ramier sauvage
Dans l’été — Un danger circule à l’ombre
L’enfant triste —  ???
« Fierté, pardonne-moi ! »
Le secret perdu — Qui me consolera ?
Au livre de Léopardi — Il est de longs soupirs qui traversent les âges
Simple histoire — Tu m’as connue au temps des roses
La jeune comédienne — Légère, on la portait !
Crois-moi — Si ta vie obscure et charmée
Pourquoi ? — Quand vous suiviez ma trace
Cigale — De l’ardente cigale j’eus le destin
« Amour, divin rôdeur » — « Amour, divin rôdeur, glissant entre les âmes »

Famille
Le nid solitaire — Va, mon âme, au-dessus de la foule qui passe
Soir d’été — Le soleil brûlait l’ombre, et la terre altérée
Loin du monde — Entrez, mes souvenirs, ouvrez ma solitude !
La fileuse et l’enfant — J’appris à chanter en allant à l’école
Un ruisseau de la Scarpe — Oui, j’avais des trésors
Une ruelle de Flandre — Dans l’enclos d’un jardin gardé par l’innocence
À Rouen, rue Ancrière — Je n’ai vu qu’un regard de cette belle morte
Le puits de Notre-Dame à Douai —  ???
La rose flamande — C’est là que j’ai vu Rose Dassonville
L’innocence — Beau fantôme de l’innocence
Laisse-nous pleurer — Toi qui ris de nos cœurs prompts à se déchirer
À mon fils, avant le collège —  ???
À mon fils, après l’avoir conduit au collège —  ???
Rêve intermittent d’une nuit triste — Ô champs paternels hérissés de charmilles
Ondine à l’école —  ???
Elle allait s’embarquer encore —  ???
La mère qui pleure — J’ai presque perdu la vue
À une mère qui pleure aussi —  ???
L’âme errante — Je suis la prière qui passe
La fiancée du veuf — Épouse aujourd’hui fortunée
Inès — Je ne dis rien de toi, toi, la plus enfermée !
La voix perdue — Ma mère, entendez-vous, quand la lune est levée

Foi
Tristesse — Si je pouvais trouver un éternel sourire
Refuge — Il est du moins au-dessus de la terre
Retour dans une église — Église ! église où de mon âme
Quand je pense à ma mère —  ???
Les sanglots —  ???
Une nuit de mon âme — Par un rêve dont la flamme
Les prisons et les prières — Pleurez ! Comptez les noms des bannis de la France
Au citoyen Raspail — Comme l’ardent mineur ensevelit sous terre
La couronne effeuillée — J’irai, j’irai porter ma couronne effeuillée
Renoncement — Pardonnez-moi, seigneur, mon visage attristé
« Que mon nom ne soit rien »

Enfants et jeunes filles
Pour endormir l’enfant —  ???
Selon Dieu —  ???
Aux nouveaux-nés heureux —  ???
Aux nouveaux-nés partis —  ???
Le petit mécontent — Mère, je veux crier et faire un grand tapage Choix de poésies pour les jeunes personnes, ed. Mme. A. Coutan, 1850
Le petit brutal —  ???
Le nuage et l’enfant —  ???
Ouvrez aux enfants — Les enfants sont venus vous demander des roses
La prière des orphelins —  ???
À M. Dubois —  ???
La grande petite fille —  ???
L’enfant au miroir — Si j’étais assez grande
La jeune pensionnaire —  ???
La petite pleureuse à sa mère —  ???
L’oiseau —  ???
Les danses de Lormont — Poursuivant les nuées de nos chansons
La danse de nuit —  ???

Diverses
À ma sœur Cécile — Cache-les dans ton cœur
L’amie — Quand mon ombre au soleil tremble seule et s’incline
L’aumone — Toute fleur bénit sur la terre
Les fleurs — Semez sur lui des fleurs
À madame *** — Que vous soyez pour tous la charité qui pleure
Le soleil lointain — Quand vous m’avez écrit tout ce que femme ou mère
Mme. Émile de Girardin — La mort vient de fermer les plus beaux yeux du monde
Le voisin blessé — L’autre nuit, le voisin qui pleure
Où vas-tu ? — Cesse de m’apprendre d’où vient la douleur
Les deux jeunes marinières — Vois-tu ! si j’avais ta beauté ; Jardin de ma fenêtre, ma seule terre à moi
La fidèle — Si j’étais la plus belle
Un déserteur — J’entends sonner dimanche
La pauvre fille — À toi le monde ! à toi la vie !
Les oiseax — Caravane aux voix enflammées
Le banni — Les toits étaient dorés par le couchant
Dans la rue — Nous n’avons plus d’argent pour enterrer nos morts
La charité — D’une main timide, on sonne au couvent
Les séparés — N’écris pas ! Je suis triste, et je voudrais m’éteindre
Qui sera roi ? — Armé du fouet vengeur, le Christ, en sa justice
La lune des fleurs — Douce lune des fleurs, j’ai perdu ma couronne !

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