Discussion:Poésies (Mallarmé, 1914, 8e éd.)/Hérodiade
Dernier commentaire : il y a 16 ans par Levana Taylor
Source : Mallarmé, Poésies ; Édition Garnier Flammarion, 1989.
Niveau d'avancement : Le texte a été corrigé, mais nécessite une relecture additonelle --Levana Taylor 6 novembre 2007 à 17:32 (UTC)
Orthographe
modifier(transfert à Cantique de Saint Jean)
Variantes (scène)
modifierPoésies (Stéphane Mallarmé) (1887) / Poésies (Deman)
- Trois point (…) dans 1887 sont deux points (..) dans Deman.
- Titre :
- ( fragment ) / Hérodiade La Nourrice
- Scène / La Nourrice — Hérodiade
- 4 :
- Le blond torrent de mes cheveux immaculés
- Le blond torrent de mes cheveux immaculés,
- 17 :
- Je m’arrête rêvant aux exils, et j’effeuille
- Je m’arrête rêvant aux exils, et j’effeuille,
- 18 :
- Comme près d’un bassin dont le jet d’eau m’accueille
- Comme près d’un bassin dont le jet d’eau m’accueille,
- 21 :
- Descendre, à travers ma rêverie, en silence,
- Descendre, à travers ma rêverie en silence,
- 22 :
- Les bêtes, de ma robe écartent l’indolence
- Les lions, de ma robe écartent l’indolence
- 44 :
- Assez ! tiens devant moi ce miroir.
- Assez ! Tiens devant moi ce miroir.
- 52 :
- (une lacune) / Nourrice, suis-je belle ? / Un astre, en vérité
- (pas de lacune) Nourrice, suis-je belle ? / Un astre, en vérité :
- 61 :
- Ô jour qu’Hérodiade avec effroi regarde !
- Ô tour qu’Hérodiade avec effroi regarde !
- 62 :
- Temps bizarre, en effet; de quoi le ciel vous garde !
- Temps bizarre, en effet, de quoi le ciel vous garde !
- 64 :
- Et regardant en vous précoce avec terreur :
- Et regardant en vous, précoce, avec terreur ;
- 65 :
- Mais toujours adorable autant qu’une immortelle
- Mais pourtant adorable autant qu’une immortelle,
- 73 :
- De votre grâce attend ! et pourquoi, dévorée
- De votre grâce attend ! Et pour qui, dévorée
- 80 :
- Tombera, le minuit, ce dédain triomphant…
- Décroîtra, quelque jour, ce dédain triomphant..
- 86 :
- Oui, c’est pour moi, pour moi que je fleuris, déserte !
- Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte !
- 92 :
- Empruntent leur clarté mystérieuse, et vous,
- Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous,
- 95 :
- Quant à toi, femme née en des siècles malins,
- Quant à toi, femme née en des siècles malins
- 102 :
- Me voit, dans ma pudeur grelottante d’étoile,
- Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile,
- 107 :
- Le froid scintillement de ta pâle clarté
- Le froid scintillement de ta pâle clarté,
- 110 :
- (pas de lacune) Et ta sœur solitaire, ô ma sœur éternelle,
- (une lacune) / Et ta sœur solitaire, ô ma sœur éternelle,
- 115 :
- D’un miroir qui regarde en son calme dormant
- D’un miroir qui reflète en son calme dormant
- 118 :
- Madame, allez-vous donc mourir!
- Madame, allez-vous donc mourir?
- 121 :
- Séraphique sourit dans les vitres profondes
- Séraphique sourit dans les vitres profondes,
- 122 :
- Et je déteste, moi, le bel azur…
- Et je déteste, moi, le bel azur !
- 125 :
- De Vénus qui, le soir, brûle dans le feuillage ;
- De Vénus qui, le soir, brûle dans le feuillage :
- 126 :
- J’y partirais ! / Allume encore, enfantillage ?
- J’y partirais. / Allume encore, enfantillage,