Discussion:Le Printemps (Saint-Lambert)


1769 (p. 2) :
L’homme s’éveille encor à la voix des tempêtes,
Mais le sombre ouragan qui mugit sur nos têtes
Traversa du midi les sables & les mers ;
Les feux & les vapeurs qu’il répand dans les airs,
S’assemblent dans leur course, & forment ces nuages
Dont les flots tempérés inondent nos rivages ;

1771 (p. 4) :
L’homme s’éveille encor à la voix des tempêtes ;
Mais le vent du midi qui mugit sur nos têtes,
Des brûlants Africains traverse les déserts ;
Il enlève des feux qu’il répand dans les airs ;
Il les mêle aux vapeurs qui couvrent nos rivages ;
Il agite, il balance, il presse les nuages

1773 (5-6e éd., p. 4), 1775 (p. 40), 1782 (p. 4), 1785 (p. 4), 1796 (p. 4) :
L’homme s’éveille encor [encore] à la voix des tempêtes ; [:]
Mais le vent du midi qui mugit sur nos têtes, [d ,]
Des brûlants [brûlans] Africains traversa les déserts ;
Il enleva des feux qu’il répand dans les airs, [;]
Il les mêle aux vapeurs qui couvrent nos rivages ; [.]
Il agite, [d il] balance, & [et] presse les nuages ; [d ;][,]

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