Discussion:Léonie de Montbreuse


Éditions modifier

 Titre et éditions
1813 : Léonie de Montbreuse    À Paris, Renard, par Mme S… G…, Google et voir référence Gallica
1817 : Léonie de Montbreuse    À Vienne, de l'imprimerie Deschrämbl Google
1823 : Léonie de Montbreuse    À Paris, Aug. Boulland, voir référence Gallica, la seconde édition n’est point anonyme.
1823 : Léonie de Montbreuse    par Mme Sophie Gay, auteur d’Anatole et de Laure d’Estell, seconde édition revue et corrigée. À Paris, chez Ambroise Tardieu, éditeur Google
1864 : Léonie de Montbreuse    À Paris, Michel Lévy frères Gallica
1871 : Léonie de Montbreuse    À Paris, Michel Lévy frères Internet Archive

Citations modifier

  • Cette première remarque, jointe à celle d’une plus longue expérience, m’a convaincue que les femmes sont souvent plus compromises par la froide familiarité de celui qu’elles préfèrent, que par les soins empressés d’un amant passionné. La sécurité de l’un trahit leur faiblesse, l’inquiétude de l’autre n’apprend que son amour.

Réception, critiques modifier

  • 1813 : Journal de l'Empire, 26 avril 1813 [1]

Statistiques modifier

  • 51 137 mots soit environ 3h30 de lecture (à 250 mots/mn)

Orthographe, vocabulaire modifier

  • siége, complétement, manége, privilége
  • pupître, remercîments
  • instans
  • grand’chose,
  • les leçons de ce vieux italien
  • M. de L*** a proposé à ceux qui restaient de se remettre au creps.
  1. Léonie de Montbreuse était dédiée, dans la pensée de madame Gay, à sa fille madame la comtesse de Canclaux, née du premier mariage. Voici les vers faciles et maternels qu’elle avait écrits en tête de l’exemplaire donné à madame de Canclaux, qui venait de se marier au moment où le roman parut :
    À MA FILLE AGLAÉ.

         Comme un doux souvenir, accepte cet ouvrage.
         Tu sais que pour toi seule il fut imaginé ;
         Alors que du malheur nous ressentions l’outrage,
             À te distraire il était destiné.
         Parfois de ses chagrins tu plaignais Léonie,
         Et, sans les imiter, tu riais de ses torts ;
         Plus sage en tes projets, sans ruse, sans efforts,
         Tu m’as laissé le soin du bonheur de ta vie.
         Le choix de cet époux qui devait te chérir
         À ma tendresse fut confié par toi-même ;
         Je le vois t’adorer presque autant que je t’aime.
         Et ce que j’ai rêvé, tu viens de l’accomplir.

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