Imprimerie de la société des bibliophiles cosmopolites (Jules Gay) (p. 126).

Coup. L’acte vénérien, qui est, en effet, un choc — agréable pour celle qui le reçoit comme pour celui qui le donne.

L’autre jour un amant disait
À sa maîtresse à basse voix,
Que chaque coup qu’il lui faisait
Lui coûtait deux écus ou trois.

Cl. Marot.

Tu voudrais avoir pour un coup
Dix écus ; Jeanne, c’est beaucoup.

Ét. Tabourot.

Pour l’avoir fait deux coups en moins de demi-heure,
C’est assez travailler pour un homme de cour.

(Cabinet satyrique.)

Il faut toujours se faire payer avant le coup.Tabarin

L’homme philosophal que cherche, sans le trouver, la femme, est celui qui ferait réellement les cent coups.J. Le Vallois.