De la Présence et de l’Action du Saint-Esprit dans l’Église/Chapitre 7


CHAPITRE VII.

DU CHAPITRE VIIe DE M. WOLFF CONCERNANT L’ÉLECTION DE L’ÉVÊQUE PAR LE TROUPEAU.

Ici l’auteur m’épargne aussi la peine de dire grand chose. Il désire, au commencement du chapitre, que le troupeau intervienne dans la nomination du pasteur et que les ministres aient le droit de le présenter ; il expose tout cela sans s’inquiéter beaucoup de voir ce qui en est dans la Parole.

Tout le système qui veut nommer ainsi des pasteurs est tellement en dehors de tout ce qui se trouve dans la Parole, que je n’ai rien à dire à ce sujet. J’ai déjà expliqué l’origine historique de cette habitude. Les troupeaux que l’on a en vue étant de fait inconvertis pour la plupart, j’ai d’autant moins besoin d’en parler. « Nous ne pouvons qu’approuver un semblable usage (p. 20). » Il serait commode de se soustraire au gouvernement et aux consistoires, et de suivre l’influence libérale du siècle. Tout cela est en dehors de ma tâche. J’ai déjà discuté le sujet de tout le reste du chapitre dans le même sens que M. Wolff[1].

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  1. Voyez : Remarques sur l’état de l’Église, servant de réponse à M. Rochat. P. 52-61.