ACTE CINQUIÈME.



Scène I.

STRABON, seul.

Je suis tout confondu. Quelle étrange aventure !
Ma femme en ce pays, et dans cette figure !
La coquine aura su, par quelque ami présent,
Se faire consoler de son époux absent :
Mais elle n’aura pas plus longtemps l’avantage
D’anticiper les droits d’un prétendu veuvage.
J’ai fait réflexion sur son sort et le mien ;
Je ne veux point quitter des lieux où je suis bien.
Assez et trop longtemps un chagrin domestique
M’a fait souffrir les maux d’un exil tyrannique ;
Et puisque mon destin m’amène en ce séjour,
Je veux sur mes foyers demeurer à mon tour.
De me voir en ces lieux si mon épouse gronde,
Elle peut à son tour aller courir le monde.


Scène II.

STRABON, THALER.
thaler.

Palsangué, je commence à me mettre en souci ;
Mon bijou ne vient point. Voyez-vous ! Ces gens-ci
Vous promettont assez, mais ils ne tenont guère.

strabon.

Quoi ?

thaler.

Quoi ? Vous ne savez pas ce qu’on me vient de faire ?

strabon.

Non.

thaler.

Non.Vous avez grand tort.

strabon.

Non. Vous avez grand tort.Soit ; mais je n’a sais rien.

thaler.

Vous avez vu tantôt ce bracelet ?

strabon.

Vous avez vu tantôt ce bracelet ? Hé bien ?

thaler.

Bon ! Ne me l’ont-ils pas déjà pris ?

strabon.

Bon ! Ne me l’ont-ils pas déjàComment diable ?

thaler.

Ils m’ont mis sur le corps cet habit honorable,

Disant que l’autre étoit trop ignominieux.
Je me suis vu si brave, et j’étois si joyeux,
Que je n’ai pas songé de fouiller dans ma poche :
Ils l’avont fait.

strabon.

Ils l’avont fait.Le tour est digne de reproche.
Ta mémoire t’a là joué d’un vilain trait.

thaler.

On est si partroublé, qu’on ne sait ce qu’on fait.
Mais le roi m’a promis de me le faire rendre :
Pour cela, tout exprès, je viens ici l’attendre,
Après quoi, je dirons serviteur à la cour.

strabon.

Le serpent sous les fleurs se cache en ce séjour :
J’y viens d’en trouver un…
Mais qui peut t’y déplaire ?
T’a-t-on fait quelque pièce encor ?

thaler.

T’a-t-on fait quelque pièce encor ? Tout au contraire ;
C’est à qui me fera tout le plus d’amiquié :
L’un me baille un soufflet, et l’autre un coup de pied ;
L’autre une croquignole, enfin chacun s’empresse,
Tout du mieux qu’il le peut, à me faire caresse :
On me fait plus d’honneur que je ne vaux cent fois.
J’ai vu manger le roi, tout comme je te vois,
Et tout de bout en bout.

strabon.

Et tout de bout en bout.Tu l’as vu ?

thaler.

Et tout de bout en bout. Tu l’as vu ? Face à face :

Comme ces gros monsieurs, je tenois là ma place ;
Et, stapendant, j’avois du chagrin dans le cœur.

strabon.

Du chagrin ! Et pourquoi ?

thaler.

Du chagrin ! Et pourqMorgué, j’ons de l’honneur ;
Et l’on dit qu’Agélas en veut à notre fille.

strabon.

Voyez le grand malheur !

thaler.

Voyez le grand malheur ! Morgué, dans la famille,
J’ons toujours été droit, hors notre femme, dà,
Qui faisoit jaser d’elle un peu par-ci par-là.

strabon.

Te voilà bien malade ! Elle tient de sa mère.
Prétends-tu réformer cet usage ordinaire ?

thaler.

Ce seroit un affront.

strabon.

Ce seroit un affront.Je suis en même cas,
Et l’on ne m’entend point faire tant de fracas.
C’est tant mieux, animal, si le sort favorable
Veut élever ta fille en un rang honorable.

thaler.

Tant mieux ? Qui dit cela ?

strabon.

Tant mieux ? Qui dit cela ?C’est moi qui te le dis.

thaler.

Les uns disent tant mieux, et les autres tant pis.

Dame ! Accordez-vous donc.

strabon.

Dame ! Accordez-vousCrois-moi, n’en fais que rire.

thaler.

Si j’avois mon joyau, je les laisserois dire.

strabon.

La fortune m’a bien joué d’un autre tour ;
J’ai bien plus de sujet de me plaindre à mon tour.
Un chagrin différent s’empare de notre âme :
Tu perds ton bracelet, moi je trouve ma femme.

thaler.

Comment donc votre femme ! Êtes-vous marié ?

strabon.

Hélas ! Mon pauvre enfant, je l’avois oublié ;
Mais le diable en ces lieux
(qui l’eût pu jamais croire !)
M’en a subitement rafraîchi la mémoire.


Scène III.

CLÉANTHIS, STRABON, THALER.
strabon.

Ah ! La voilà qui vient ; c’est elle, je la vois.

thaler.

Qu’elle a de beaux habits !

strabon.

Qu’elle a de beaux habits ! Ils ne sont pas de moi.

cléanthis, à Strabon.

Quoi ! Malgré les transports dont mon âme est émue,

Oses-tu bien encor te montrer à ma vue ?
Et pourquoi n’es-tu pas déjà bien loin d’ici ?

strabon.

Vous vous y trouvez bien, et moi fort bien aussi.
Si mon fatal aspect ici vous importune,
Je vous permets d’aller chercher ailleurs fortune.

cléanthis.

Où puis-je aller, pour fuir un si funeste objet ?

(Thaler regarde Cléanthis avec attention.)
strabon.

Vous pouvez voyager vingt ans comme j’ai fait ;
Ou, si de la sagesse un beau feu vous excite,
Allez dans les déserts, et suivez Démocrite :
De vous voir avec lui je serai peu jaloux.

cléanthis.

Sors vite de ces lieux, redoute mon courroux.

(à Thaler.)

As-tu bientôt assez contemplé ma figure ?

thaler, à part.

J’ai quelque souvenir de cette créature.

strabon.

C’est là que l’on apprend à corriger ses mœurs,
Et d’un flegme moral réprimer les aigreurs.

cléanthis.

Je veux, quand il me plaît, moi, me mettre en colère.

thaler, à part.

C’est elle ; je le vois, plus je la considère.

strabon.

N’adoucirez-vous point cet esprit pétulant ?

thaler, à part.

Voilà celle qui vint m’apporter son enfant.

cléanthis.

Ma haine, en te voyant, s’irrite dans mon âme,
Lâche, perfide époux !

thaler, à Strabon.

Lâche, perfide époux ! C’est donc là votre femme ?

strabon.

Hélas ! Oui.

thaler, à Cléanthis, la prenant par le bras.

Hélas ! Oui.Payez-moi ce que vous me devez.

cléanthis.

Ce que je vous dois ?

thaler.

Ce que je vous dois ? Oui, s’il vous plaît.

cléanthis.

Ce que je vous dois ? Oui, s’il vous plaît.Vous rêvez.
Je ne vous connois point, mon ami, je vous jure.

thaler.

Je vous connois bien, moi. Quinze ans de nourriture
Pour un de vos enfants.

cléanthis.

Pour un de vos enfants.Pour un de mes enfants ?

strabon.

Pour un de nos enfants !
Ciel ! Qu’est-ce que j’entends ?
Je n’en eus jamais d’elle ; et c’est nous faire honte.

thaler, à Strabon.

Elle n’a pas laissé d’en avoir, à bon compte.

strabon.

D’en avoir ! Justes dieux ! Verrai-je d’un œil sec
Le front d’un philosophe endurer tel échec ?

cléanthis, à Thaler.

Quoi ! Tu pourrois, maraud, avec pareille audace,
Me soutenir…

Me soutenir…xxx(à part.)

Me soutenir…J’ai vu quelque part cette face.

thaler, à Cléanthis.

Oui, je le soutiendrai. C’est, palsanguenne, vous
Qui vint, par un matin, mettre un enfant cheux nous,
Si bien que vous disiez que vous étiez sa mère.

cléanthis.

Qui, moi ?

thaler, à Strabon.

Qui, moi ? Je suis ravi que vous soyez son père ;
C’est un gentil enfant.

strabon, à Cléanthis.

C’est un gentil enfant.M’avoir joué ce trait,
Sans t’en avoir donné jamais aucun sujet[1] !

cléanthis.

Vous êtes fous tous deux.

strabon.

Vous êtes fous tous deux.Me donner, infidèle,

Un enfant clandestin !… Est-il mâle ou femelle ?

thaler.

C’est une belle fille, et laquelle, ma foi,
Ne vous ressemble guère.

strabon.

Ne vous ressemble guère.Oh ! Vraiment, je le crois.


Scène IV.

AGÉLAS, DÉMOCRITE, CRISÉIS, STRABON, CLÉANTHIS, THALER.
démocrite, à Agélas.

Seigneur, il ne faut pas m’arrêter davantage :
Je joue en votre cour un fort sot personnage ;
Et quand vous me forcez à rester dans ces lieux,
Je sais que ce n’est point du tout
pour mes beaux yeux.

agélas.

Votre rare mérite en est l’unique cause.

démocrite.

Mon mérite ?
Ah ! Vraiment, c’est bien prendre la chose.
Si vous le connoissiez en effet tel qu’il est,
Vous verriez qu’il n’est pas tout ce qu’il vous paroît.

agélas.

Ici votre présence est encor nécessaire.
Je veux que vous voyiez terminer une affaire ;
Après quoi vous pourrez, libres dans vos desseins,
Vous, Thaler, et Strabon, chercher d’autres destins.

démocrite.

Quelle affaire ?

agélas.

Quelle affaire ? Je veux qu’un heureux mariage
Par des nœuds éternels à Criséis m’engage.

thaler.

À ma fille ?

À ma fille ? xxx(à part.)

À ma fille ? Morgué, ces courtisans de cour
Ont tous, comme cela, des vartigos d’amour.

criséis.

Il ne faut point, seigneur, surprendre ma foiblesse
Par le flatteur aveu d’une feinte tendresse.
Je connois votre rang ; de plus, je me connois :
Vous respecter, seigneur, est tout ce que je dois.

agélas.

Les dieux et les destins en vain, par la naissance,
Ont mis entre nous deux une vaste distance,
J’en appelle à l’amour ; il est beaucoup plus fort
Que le sang, que les lois, que les dieux et le sort.
Je veux sur votre front mettre le diadème[2].

thaler, à Criséis.

Ne va pas t’y fier ; ce n’est qu’un stratagème.


Scène V.

ISMÈNE, AGÉLAS, AGÉNOR, CRISÉIS, DÉMOCRITE, CLÉANTHIS, STRABON, THALER.
ismène, à Agélas.

Seigneur, il court un bruit que je ne saurois croire ;
Il intéresse trop mes droits et votre gloire :
J’apprends que, vous laissant séduire par l’amour,
Vous voulez épouser Criséis en ce jour.

agélas.

Le bruit qui se répand ne me fait nul outrage :
Un inconnu pouvoir à cet hymen m’engage ;
Et mon choix, l’élevant dans ce rang glorieux,
Peut réparer assez l’injustice des dieux.

démocrite, à Agélas.

Vous voulez tout de bon en faire votre femme ?

agélas.

Jamais aucun espoir n’a tant flatté mon âme.

thaler, à part.

Fatigué, queu malin !

Fatigué, queu malin ! xxxx(à Agélas.)

Fatigué, queu malin ! Rendez-moi mon bijou,
Et je prends, pour partir, mes jambes à mon cou.

agélas, donnant le bracelet au roi.

Par les soins que j’ai pris, on vient de me le rendre,
Seigneur, je vous l’apporte.

thaler.

Seigneur, je vous l’apporte.On m’a bien fait attendre.
N’en a-t-on rien ôté ?

agélas.

N’en a-t-on rien ôté ?Les yeux sont éblouis
Des traits de feu qu’on voit…

Des traits de feu qu’on voit…xxx(à Thaler.)

Des traits de feu qu’on vo Mais d’où vient ce rubis ?

thaler.

Du pays des rubis. Il est à notre fille.

agélas.

Comment ?

thaler.

Comment ? Oui ; c’est, seigneur, un bijou de famille.

agélas.

Éclaircis-nous le fait sans feinte et sans détour.

thaler.

Mais tout ce que je dis est plus clair que le jour.

agélas.

Ce discours ambigu cache quelque mystère :
Explique-toi.

thaler.

Explique-toi.Morgué, je ne suis point son père,
Puisqu’il faut vous le dire et parler tout de bon.

criséis.

Juste ciel !

thaler.

Juste ciel ! Je ne fais que lui prêter mon nom,
Comme bien d’autres font.

cléanthis, à part.

Comme bien d’autres font.Le dénouement s’avance.

agélas.

Et quel est donc celui qui lui donna naissance ?

strabon, à part.

Ce n’est pas moi, toujours.

thaler, montrant Cléanthis.

Ce n’est pas moi, toujours.Cette femme, je crois,
Si vous l’interrogez, le dira mieux que moi :
La drôlesse, un matin, s’en vint,
bon jour, bonne œuvre,
Jusqu’à notre maison porter ce biau chef-d’œuvre.

cléanthis.

Moi ! Quelle calomnie !

thaler, à Cléanthis.

Moi ! Quelle calomnie ! Oh ! Je vous connois bien.

cléanthis.

Qui ? Moi, j’aurais…

thaler.

Qui ? Moi, j’aurais…Oui, vous.

agélas, à Cléanthis.

Qui ? Moi, j’aurais… Oui, vous.Ne dissimule rien.

cléanthis.

Seigneur, j’ai satisfait aux ordres de la reine,
Qui de son premier lit n’ayant pour fruit qu’Ismène,
Et lui voulant au trône assurer tous les droits,
M’obligea de porter sa fille dans les bois.

agélas.

Puis-je croire, grands dieux ! Cette étrange aventure ?
Mais, hélas ! N’est-ce point une heureuse imposture ?

cléanthis.

Seigneur, ce bracelet avecque ce rubis
Rendent le fait constant.

strabon, à part.

Rendent le fait constant.Je reprends mes esprits.

agélas, à Criséis.

Il est temps qu’à présent, puisque le ciel l’ordonne,
Je remette à vos pieds le sceptre et la couronne.
Je vous rends votre bien, madame ; et désormais
Je ne le puis tenir que de vos seuls bienfaits.

criséis.

Je ne me plaignois point du sort où j’étois née :
Maintenant que le ciel, changeant ma destinée,
Veut réparer les maux qu’il m’avoit fait souffrir,
Je me plains de n’avoir qu’un cœur à vous offrir.

agélas, à Ismène.

Madame, vous voyez mon destin et le vôtre ;
Le ciel ne nous a point fait naître l’un pour l’autre ;
Mais ce prince pourra, sensible à vos attraits,
De la perte du trône adoucir les regrets.

ismène.

Agénor à mes yeux vaut bien une couronne.

agénor.

Seigneur…

agélas, à Thaler.

Seigneur…Vous, dont je tiens cette aimable personne,
Demandez ; je ne puis trop vous récompenser.

thaler.

Faites-moi maltôtier toujours pour commencer.

démocrite, à Agélas.

Seigneur, depuis longtemps je garde le silence ;
Un tel événement étourdit ma prudence :
Interdit et confus de tout ce que je vois,
J’ai peine à retrouver l’usage de la voix.
Il est temps cependant de me faire connoître.
Je n’ai point été tel que j’ai voulu paroître ;
Vraiment foible au dedans, philosophe au dehors,
L’esprit étoit la dupe et l’esclave du corps.
Deux yeux, deux yeux charmants,
avoient, pour ma ruine,
Détraqué les ressorts de toute la machine.
De la philosophie en vain on suit les lois ;
La nature en nos cœurs ne perd jamais ses droits ;
Et, comptant nos défauts, je vois, plus je calcule,
Qu’il n’est point de mortel qui n’ait son ridicule :
Le plus sage est celui qui le cache le mieux.
J’étois amoureux.

agélas.

J’étois amoureux.Vous !

cléanthis.

J’étois amoureux. Vous ! Vous étiez amoureux ?

démocrite.

L’amour m’avoit forcé, pour traverser ma vie,
Dans les retranchements de la philosophie.
(Montrant Criséis.)
Voilà l’objet fatal, le véritable écueil

Où la fière sagesse a brisé son orgueil.

cléanthis.

Vous aimiez Criséis ?

démocrite.

Vous aimiez Criséis ? La partie animale
Avait pris, malgré moi, le pas sur la morale ;
La nature perverse entraînoit la raison.
À l’univers entier j’en demande pardon.
Adieu.

agélas.

Adieu.Ne partez point ; il y va de ma gloire.

démocrite.

Faut-il que j’orne encor votre char de victoire ?
Je ne me trouve pas assez bien de la cour,
Seigneur, pour y vouloir faire un plus long séjour.
J’ai fait, en m’y montrant, une folie extrême ;
J’y vins comme un franc sot,
et je m’en vais de même ;
Trop heureux d’en partir libre de passion,
Et d’avoir de critique ample provision !
J’en ai fait à la cour un recueil à bon titre ;
Je me mets, je l’avoue, en tête du chapitre
De ceux que l’amour fait à l’excès s’oublier ;
Mais, sans le bracelet, vous étiez le premier.
Je vais chercher des lieux où la philosophie
Ne soit plus exposée à cette épilepsie.
Dans un antre plus creux, achevant mon emploi,
Je vais rire de vous ; riez aussi de moi.

Il sort.

Scène VI.

ISMÈNE, AGÉLAS, AGÉNOR, CRISÉIS, CLÉANTHIS, STRABON, THALER.
agélas.

Tâchons de l’arrêter.

(à Criséis.)

Tâchons de l’arrêter.Nous cependant, madame,
Allons pour couronner une si belle flamme.


Scène VII.[3]

CLÉANTHIS, STRABON.
strabon.

Hé bien, que dirons-nous ? Partirai-je avec lui ?

cléanthis.

Je suis bien en courroux : si pourtant aujourd’hui
Tu voulois un peu mieux m’aimer ?

strabon.

Tu voulois un peu mieux m’aimer ? Déjà, coquine,
Tu voudrois me tenir, je le vois à ta mine.
Je te pardonne tout, fais-moi grâce à ton tour ;
Oublions le passé, renouvelons d’amour.
Je ne serai pas seul qui, d’une âme enchantée,
Aura repris sa femme après l’avoir quittée.


FIN DE DÉMOCRITE.

  1. Dans l’édition orginale et dans celle de 1728, on lit ainsi ce vers :
    Sans t’en avoir jamais donné aucun sujet ?
    Par le simple déplacement des deux mots jamais et donné, on a évité l’hiatus.
  2. Ou ce vers et le suivant sont de trop, ou il manque après eux deux vers avec rimes masculines.
  3. Dans l’édition originale, cet acte n’est divisé qu’en six scènes.