Croyances et légendes du centre de la France/Tome 1/Livre 03/04

CHAPITRE QUATRIÈME

SORCELLERIE (suite) :
PRÉSERVATIFS CONTRE LES SORTS.


Il nous semble assez à propos de faire suivre ces histoires de sorciers de quelques indications sur les moyens le plus ordinairement employés pour se mettre personnellement en garde contre toute espèce de maléfices.

On assure que la plupart du temps on atteint ce but en chaussant tout simplement à l’envers un de ses bas ; ou assure encore que si l’on a la mauvaise chance de rencontrer en son chemin une personne que l’on soupçonne de sorcellerie, il suffit, pour conjurer tout danger, de dire trois fois mentalement : Je te doute ! c’est-à-dire : Je te tiens pour suspect[1].

Mais on préconise surtout comme de très-bons préservatifs, les suivants : un os de taupe que l’on porte en tout temps sous l’aisselle gauche ; une tête de cerf-volant ou lucane (lucanus cervus), muni de ses cornes, que l’on attache, ainsi que nous l’avons déjà dit (p. 269), au cordon du chapeau. — Il y a soixante ans, on ne rencontrait guère un paysan berrichon sans ce dernier amulette. Comme la larve de ce coléoptère vit dans l’intérieur du chêne, cette circonstance est bien suffisante pour que les Gaulois nos pères se soient persuadé que cet insecte devait participer de la nature de l’arbre qui, au rapport de Maxime de Tyr, passait, parmi les tribus gaéliques, pour la Divinité suprême[2]. Ainsi s’expliquerait encore l’espèce de culte que les druides rendaient au gui de chêne, plante parasite qui, de même que la lucane, se nourrit de la substance de cet arbre. Notre assertion est d’ailleurs confirmée par Pline, qui dit positivement que les Gaulois « regardaient comme un présent du ciel tout ce qui naissait, tout ce qui croissait sur les chênes. Quidquid adnascatur illis e cœlo missum putant[3]. »

Nous remarquerons, à ce propos, que le chêne, si honoré dans les Gaules, fut aussi en grande vénération chez les Grecs, qui l’avaient consacré à Jupiter. Les Romains, sous ce rapport, partageaient leur manière de voir : Glandiferi maxime generis omnes, quibus honos apud Romanos perpetuus[4]. — Le chêne n’aurait-il pas été en aussi grand respect chez tous ces peuples, que parce que ses fruits passaient pour avoir servi de première nourriture à l’espèce humaine ? — « Nous faisons fi des glands du chêne, dit notre compatriote Jules Néraud, mais une très-vieille tradition nous apprend que les premiers hommes s’en régalaient très-bien… Du reste, en Espagne, en Italie, en Grèce, dans l’Asie Mineure, précisément dans les pays où la tradition place les anciens mangeurs de glands, on rencontre plusieurs espèces de chênes dont les fruits sont très-bons à manger. Les meilleurs sont ceux du chêne bellote, dont on fait le commerce en Espagne, comme chez nous des marrons[5]. » On sait qu’un motif de gratitude semblable portait les Égyptiens, les Lotophages, à regarder le lotos comme une plante sacrée. En effet, il y a deux espèces de lotos qui toutes deux donnent de très-bons fruits : la première, le zyzyphus lotos, est une variété du jujubier. Ce lotos est fort commun dans le royaume de Tunis et principalement aux environs de la petite Syrte. Son fruit, de la grosseur d’une olive, a le goût des figues ou des dattes. L’autre lotos, le lotos égyptien, connu des botanistes sous le nom de netumbo, est un nénuphar qui ressemble beaucoup à celui de nos rivières. Ses fruits, dit encore Jules Néraud, à qui nous continuons d’emprunter ces détails, renferment une vingtaine d’amandes excellentes à manger. — On sait aussi que si les Japonais professent une sorte de culte pour l’awabi, c’est que ce coquillage fut longtemps l’unique aliment des premiers habitants de leur île. — Ce sentiment de reconnaissance se retrouve chez beaucoup de nations : ainsi, le palmier dattier, dont les poëtes arabes parlent comme d’un être animé qui fut créé par Dieu le même jour que l’homme ; le bananier (musa paradisiaca), cette plante nourricière par excellence, que certains théologiens ont placée dans le paradis terrestre pour y tenter notre première mère ; l’assouata, espèce de figuier que les Brahmanes invoquent, dans leurs prières, comme une divinité, tous ces arbres jouissent, chez les Arabes et les Indiens, d’honneurs équivalents à ceux dont jouissaient les chênes à Dodone, le palmier à Délos, l’olivier à Athènes ; et ces honneurs expriment la profonde gratitude de ces différents peuples pour les végétaux auxquels ils durent leur premier aliment. — Le respect vraiment religieux de nos paysans pour le blé et le pain du bon Dieu[6] ; la tendre sollicitude du Limousin pour sa castagna (châtaigne) et sa raba (rave), qu’il place, dans ses affections et ses prières, bien au-dessus de sa femme[7], ont évidemment la même origine, et cette unanimité de sentiments en matière pareille montre à quel point les sociétés ont toujours été préoccupées de leur existence matérielle, et combien, dans les premiers âges, cette existence fut incertaine et précaire.

Mais revenons.

Les Romains, toujours au dire de Pline, faisaient aussi porter à leurs enfants des cornes de lucane en guise d’amulette : Scarabœorum cornua grandia denticulata, adalligata infantibus, amuleti naturam obtinent[8].

Enfin, un brin de trèfle à quatre feuilles suffit, non-seulement pour nous mettre à l’abri de toute espèce de sorts, mais encore pour nous attirer toute sorte de bonheurs et nous procurer l’accomplissement de tous nos désirs. — Le trèfle à quatre feuilles est mentionné par quelques-uns de nos vieux auteurs et, entre autres, par Noël du Fail, page 200 de ses Propos rustiques : — « Les sorciers de Rétiers, dit-il, cherchaient du trèfle à quatre feuilles pour aller à l’aguillaneuf. » — Mme Sand, de son côté, parle de cette plante dans les termes suivants : — « Comme c’était le dimanche, la petite Fadette ne cousait ni ne filait en gardant ses ouailles. Elle s’occupait à un amusement tranquille que les enfants de chez nous prennent quelquefois bien sérieusement. Elle cherchait le trèfle à quatre feuilles qui se trouve bien rarement et qui porte bonheur à ceux qui peuvent mettre la main dessus[9]. »

Cette plante précieuse n’est pas moins renommée en Allemagne qu’en Berry, et le fait suivant, rapporté par un journal anglais, le Times (août 1866), ne doit laisser aucun doute sur ses bienfaisantes propriétés : — « Lors de la bataille de Kœniggraetz, au moment où le combat avait atteint son plus haut degré de rage, un jeune soldat autrichien aperçut à terre, presque sous ses pieds, une tige de trèfle à quatre feuilles. Pour le soldat, comme pour tout bon Allemand, cette humble plante était un gage de bonheur ; aussi s’empressa-t-il de s’en emparer, et, il venait à peine de se baisser pour la cueillir, qu’un boulet passa en sifflant au-dessus de sa tête. Évidemment, sans le trèfle à quatre feuilles le jeune homme était perdu. Après la bataille, ajoute le journal, l’heureux soldat adressa à sa fiancée le rameau sauveur, et celle-ci le conserve comme l’instrument de salut de son bien-aimé. »

Au reste, le trèfle à quatre feuilles est moins rare que l’herbe du pic, car, au dire des botanistes, on peut quelquefois le rencontrer ; mais on assure qu’il ne possède toutes ses vertus que lorsqu’il a été cueilli par une fille vierge, dans la nuit qui précède le jour de la Saint-Jean.

La verveine, le buis, passent pour avoir les mêmes propriétés que le trèfle à quatre feuilles, ce qui tait que nos vieux paysans portent souvent encore un brin de ce dernier arbuste, fixé à la ganse de leur chapeau.

Que si un sorcier, venant à vous prendre sans vert, vous gratifie de l’une de ces maladies interminables qui déroutent si fréquemment la science académique, telles que certaines diarrhées ou certaines lièvres, ne désespérez pas pour cela de votre guérison ; il vous reste encore bien des ressources.

S’il s’agit d’une fièvre, vous pouvez sans scrupule opposer sorcier à sorcier. Alors, celui que vous aurez choisi pour médecin, tenant en sa main une baguette de coudre (coudrier), prononce sur vous une certaine prière ou formule magique, à laquelle il mêle votre nom, et lançant, par-dessus son épaule, bien loin derrière lui, la baguette, il vous délivre à l’instant même de vos frissons. — Cette pratique doit nous rappeler que les anciens, dans diverses opérations magiques, jetaient derrière eux certains objets. Par exemple, les Romains prétendaient que pour faire disparaître les verrues on devait prendre des pois, en toucher chaque excroissance, puis les enfermer dans un nouet de linge[10], et les jeter pardessus son épaule[11]. — Lorsque Amaryllis procède à l’enchantement qui doit ramener près d’elle son volage amant, elle jette des cendres derrière elle :

Fer cineres, Amarylli, foras, rivoque fluenti
Transque caput jace ; ne respexeris
[12].

Au cinquième livre des Fastes d’Ovide, l’observateur du rite antique des Lémurales lance des fèves noires derrière lui : aversusque jacet. Dans le même auteur, liv. Ier des Métamorphoses, Deucalion et Pyrrha repeuplent le monde en jetant des pierres par-dessus leur tête. — Les juifs sont, encore à présent, dans l’usage, après l’inhumation d’un mort, d’arracher du sol trois poignées de gazon qu’ils lancent derrière eux en répétant ce poétique verset du psaume lxxii : — « Et ils fleuriront dans la vie comme l’herbe fleurira sur la terre. » — Enfin, lorsque, de nos jours, on renverse le sel sur la table, il suffit, assure-t-on, pour éloigner tout malheur, d’en ramasser quelques grains et de les jeter par-dessus son épaule gauche.

Vous répugne-t-il, pour vous débarrasser de votre fièvre, de recourir à la magie ? — Vous portez au bout de vos doigts un remède non moins efficace. Recueillez les rognures de vos ongles, rendez-vous, de nuit, dans un bois, faites choix, entre les plus vigoureux, d’un jeune bouleau ou d’un jeune tremble, pratiquez un trou dans leur tronc, déposez-y vos rognures d’ongles et bouchez le trou. Le bouleau ou le tremble prendra la fièvre, et vous serez guéri. — Le mobile feuillage de ces arbres, que le moindre vent fait frissonner, a sans doute induit à penser qu’ils étaient, plus que tout autre, susceptibles de contracter la fièvre. — Les Romains avaient recours à un moyen à peu près semblable pour combattre les fièvres : — « Pour chasser la fièvre, dit Pline[13] qu’elle soit quotidienne, tierce ou quarte, on prend des rognures d’ongles aux pieds et aux mains du malade, et après les avoir pétries avec de la cire, on applique ce mélange, avant le lever du soleil, à la porte d’un voisin auquel on transmet ainsi la maladie. »

On voit que le procédé romain était moins innocent que le nôtre ; aussi Pline, après avoir rapporté cette recette, s’écrie-t-il : — « Quelle absurdité, si cette pratique est fausse ! Quel crime, si, en réalité, le mal peut se transmettre ainsi ! » — Mais, afin que le bénéfice de ce remède ne soit pas perdu pour les malades scrupuleux, le même auteur nous apprend que l’on peut déposer les rognures d’ongles aux abords d’une fourmilière : alors, on s’empare de la première fourmi qui touche à ces rognures et on l’attache au cou du fiévreux, qui ne tarde pas à guérir !!…

Enfin, vous avez encore la ressource de l’œuf, dont il est parlé à l’article Carroir[14], et, à ce propos, observez bien qu’il ne faut jamais ramasser les œufs et les baguettes de coudrier que vous pouvez trouver entre quatre chemins ; cela est malsain.

Les jetteux de sorts donnent parfois certaines maladies contre lesquelles nos médecins à diplôme n’ont pu jusqu’à présent découvrir de remède. Il en est ainsi de ces diarrhées opiniâtres que les sorciers réservent à leurs plus cruels ennemis, et qu’ils parviennent à engendrer en répandant des charbons ardents sur les lieux retirés où la personne, objet de leur haine, s’est arrêtée. Dans ces circonstances, il n’y a que deux manières de conjurer le mal ; voici la première : — Vous vous procurez un cœur de bœuf, et, tout en prononçant certaines paroles d’imprécation, vous enfoncez des clous sur toute sa surface, et le mettez cuire, sans eau, dans un vase de terre qui n’ait jamais servi. À peine l’odeur de cette préparation magique se répand-elle dans la maison, qu’un homme se présente devant votre porte. Il est silencieux, son air est triste, sa contenance embarrassée, suppliante, et de sa poitrine s’échappent de profonds soupirs.

Cet homme n’est autre que le sorcier, auteur de votre mal. — Il dépend de vous de prolonger son supplice aussi longtemps que vous le désirerez ; mais comme il vous tarde sans doute de sortir vous-même d’embarras, vous n’avez alors qu’à jeter à ses pieds le cœur de bœuf encloué, et le sort sera levé.

Cette étrange opération rappelle un peu les envoûtements auxquels Catherine de Médicis avait recours pour se défaire de ses ennemis. Ces pratiques datent de loin, car Pline a dit : « Defigi quidem diris deprecationibus nemo non metuit[15]. — Il n’est personne qui ne redoute l’effet des imprécations accompagnées de perforations. »

Il vous reste encore, avons-nous dit, un autre expédient ; c’est de faire dire une messe du Saint-Esprit. Cette messe, que l’on célèbre en employant un rite particulier et quelque peu sacrilège, et qui, au besoin, a dit-on pour effet de contraindre le ciel à exaucer les vœux les plus insensés, les plus criminels, forcera votre persécuteur à courir, toutes les nuits, le loup-garou, par les hameaux, les brandes et les carroirs, et à se battre avec les chiens de toutes les métairies des environs, jusqu’à ce qu’il vous ait rendu la santé.

La messe du Saint-Esprit est surtout connue dans le canton d’Eguzon (Indre). — Nous nous rappelons avoir beaucoup entendu parler autrefois d’un frère carme de la Châtre, assez mauvais sujet d’ailleurs, qui, avant la révolution, se procurait de jolis bénéfices par sa complaisance à dire de ces sortes de messes, complaisance qui répugna toujours, on le conçoit de reste, au clergé séculier.

Nous terminerons ce chapitre par une recommandation fort importante ; c’est qu’il faut nous garder d’oublier que ces oiseaux de proie, ces chats-huants, ces têtes de loups et d’animaux cornus, qu’à l’exemple des Gaulois nous sommes dans l’habitude de clouer aux grandes portes de nos maisons de campagne et de nos granges, et que nous ne considérons plus guère que comme des trophées de chasse, ne figurent là qu’à seule fin d’éloigner de nos demeures et de nos récoltes les pernicieux effets de la sorcellerie. Les Romains, sur ce point, savaient parfaitement à quoi s’en tenir : Veneficiis rostrum lupi resistere inveteratum aiunt, ob idque villarum portis prœfigunt[16]. Les chefs gaulois plaçaient même de ces dépouilles sauvages sur leurs grands boucliers carrés et jusque sur leurs casques de bataille, et l’on doit croire, après l’explication de Pline, que ces mufles de bêtes féroces, ces cornes d’élans et d’urus, ces ailes d’aigles, ces crinières hérissées, figuraient sur leurs armes défensives autant au moins comme talismans que comme épouvantails[17].

Le dragon ou le serpent était aussi et est encore, en plusieurs pays, considéré comme un génie custode. De là vient qu’il fut préposé en tout temps à la garde des trésors et autres choses précieuses, telles que la Toison d’or, les pommes du jardin des Hespérides, etc., etc. ; de là vient que l’on voit à Pompéi, en beaucoup de maisons, un serpent peint sur la muraille, et devant lequel brûlait continuellement une lampe[18] ; de là encore ces monstrueuses gargouilles qui s’élancent des murs de nos vieilles églises, et dont les gueules de dragon vomissent les eaux qui tombent sur les combles de ces édifices. Les figures de lions, de griffons, etc., que l’on remarque à l’entrée de plusieurs églises et châteaux du moyen âge, n’ont pas d’autre destination : ce sont autant de sentinelles qui protègent, nuit et jour, les abords de ces monuments contre un ennemi invisible. Il est impossible d’en douter, puisqu’une charte du treizième siècle dit positivement que les lions sculptés qui se voient aux portes de la cathédrale de ***, ont été placés là pour la préserver de l’invasion des mauvais esprits[19]. — Il en était de même chez les Hindous, car M. Daniélo[20], en parlant d’un temple indien, s’exprime ainsi : « Une porte basse, que soutiennent deux lions, sentinelles immobiles et éternelles, vous introduit dans une caverne obscure, espèce de sanctuaire où vous…, etc., etc. » — Les peuples de la Chine et du Japon sont, encore aujourd’hui, guidés par une croyance semblable, lorsqu’ils peignent ou sculptent sur les vantaux de leurs portes, sur leurs vases et ustensiles de ménage, et jusque sur les arêtes de leurs toits, des légions de monstres ailés, armés de dards et de griffes. On retrouve même, chez les Chinois, la coutume qu’avaient les guerriers gaulois de placer sur leurs armes défensives divers objets effrayants. Notre armée expéditionnaire a pu voir, en 1860, des têtes de tigres, des figures de dragons, d’hydres et de chimères, peintes sur leurs boucliers, et jusque sur les fourreaux où ils mettent leur fusil, leur arc, ou toute autre partie de leur équipement militaire[21].

  1. Le verbe douter, dans le vieux français, était actif :

    Il ne doute pluie ne vent,
    Ne nule autre chose grevant.

    (Roman de la Rose, v. 2743.)
  2. « Le Jupiter celtique est un grand chêne », dit Maxime de Tyr. — Voy. Jean Raynaud, l’Esprit de la Gaule, p. 28.
  3. Histoire naturelle, liv. XXVI, ch. 95.
  4. Ibidem, liv. XVI, ch. 2.
  5. Jules Néraud, la Botanique de ma fille, p. 27. — Paris. Hetzel. 1867
  6. Voy. à la table des matières, le mot : Arche.
  7. Voy. à la table des matières, le mot : Fumelle.
  8. Histoire naturelle, liv. XXX, ch. 47.
  9. La Petite Fadette. (Voy. plus haut, la note 4 de la page 85.)
  10. Voy. p. 298
  11. Pline, Histoire naturelle, liv. XXII, ch. 72.
  12. Virgile, Eglogues, VIII.
  13. Histoire naturelle, liv. XXVIII, ch. 23.
  14. Voy. p. 155.
  15. Histoire naturelle, liv. XXVIII, ch. 4.
  16. Pline, Histoire naturelle, liv. XXVIII, ch. 44.
  17. La plupart de ces débris d’oiseaux et de quadrupèdes entrèrent, plus tard, comme emblèmes, dans la composition des armoiries de la noblesse.
  18. Pompéi décrite et dessinée, par M. Ernest Breton.
  19. Désiré Monnier, Traditions populaires comparées, p. 38.
  20. Histoire et tableau de l’univers, t. III, p. 205.
  21. Jules Picard, Forces militaires de la Chine. Paris, chez J. Corréard, 1 vol.  in-8o, 1860.