Cours d’agriculture (Rozier)/CENDRES


CENDRES. Les cendres sont le résultat de la combustion, à l’air libre, des substances végétales et animales qui se trouvent converties en une poussière d’un gris blanchâtre, et d’une apparence terreuse. Outre les différences que présentent les matières animales dans leur nature intime, la difficulté qu’on éprouve à les réduire en cendres, et à les priver des matières huileuses et extractives qu’elles contiennent, sont des caractères très remarquables qui serviront toujours à les faire reconnoître.

On sait que, par un grand feu longtemps soutenu, les cendres et les os peuvent éprouver une sorte de fusion qui les rapproche de l’état du verre.

Beccher, à qui la chimie a de grandes obligations, et qui paroît avoir deviné quelques uns des beaux résultats de la chimie moderne, parle de cette fusion d’une manière extrêmement précise, en disant : Homo est yitram, et in vitrum redigi potest sicut et omnia animalia. Dans un autre passage, en décrivant le caractère inaltérable que conservent les cendres, suivant les classes qui les ont fournies, il se plaint très-amèrement de ce que l’usage ne peut pas permettre à ses amis de convertir ses os en cette substance diaphane, que la plus longue suite des siècles ne sauroit altérer. Il est bien étonnant qu’on n’ait pas encore profité de cette heureuse indication, pour perpétuer les traits d’une mère, d’une épouse chérie, en transformant leurs dépouilles froides et inanimées en une image vivante et indestructible. Les cendres de tous les animaux sont composées d’une grande quantité de phosphate de chaux, de phosphate de soude, des carbonates de soude, de chaux, de magnésie, de sulfate de chaux, et des oxides de fer et de manganèse : elles ne sont d’aucune utilité.

Les substances végétales sont répandues en si grande abondance sur la surface de la terre, qu’on les exploite avec beaucoup d’avantage, pour en retirer les cendres et les alcalis dont on a besoin pour les arts et les usages économiques. On doit à la régie des poudres les premières expériences qui aient été faites sur l’incinération des végétaux ; elles servirent à élever des doutes sur l’opinion généralement reçus, que la proportion des cendres étoit en raison de la densité des matières employées. Voici les résultats qu’elle a obtenus de quelques plantes et de plusieurs arbres, même les plus durs :

Tiges de blé de Turquie pour 100 livres, 8 livres 13 onces 6 gros 38 grains
Tiges de tournesol 100 5 11 4 28
Sarment 100 3 2 0 41
Buis 100 2 14 0 0
Saule 100 2 13 4 50
Orme 100 2 5 7 11
Chêne 100 1 5 5 3
Tremble 100 1 3 6 4
Charme 100 1 2 0 35
Hêtre 100 0 9 2 62
Sapin 100 0 5 3 54

M. de Perthuis, qui s’étoit occupé, en même temps que les commissaires de la régie, d’expériences en grand sur les bois, mit le plus grand zèle à compléter son travail, en comparant, par de nombreuses recherches, les produits en cendres et en salins d’un assez grand nombre d’arbres, d’arbustes, et de plantes. Il s’attacha surtout à n’employer que des matières dont il avoit bien déterminé l’état, et à ne leur faire subir que le degré de chaleur nécessaire pour en opérer la combustion complète : car, en n’élevant pas assez la température, il reste, en pure perte, une partie du charbon ; et, en l’élevant trop, on forme des combinaisons inutiles, et l’on volatilise beaucoup d’alkali. Cependant, malgré les obligations que nous avons à M. de Perthuis, d’avoir indiqué des moyens très-faciles d’augmenter la fabrication de la potasse, nous croyons que ses expériences auroient pu être faites plus en grand, et qu’il auroit dû nous faire connoître les produits, en salins, de toutes les plantes qu’il a réduites en cendres, Voici, d’après ce savant ingénieur, le calcul de huit espèces de plantes en cendres, et en salin :


ESPÈCES. EN CENDRES. EN SALINS. EAU EMPLOYÉ. OBSERVATIONS.
livres. onces. gros. grains. onces. gros. grains. livres. La quantité de cendres par chaque opération étoit de huit onces.
Ortie commune 10 10 6 0 1 7 1 28
Chardon commune 4 0 5 36 1 0 37 14
Fougère 5 0 1 0 1 // // 14
Chardon des grains 10 8 // // 1 3 71 18
Glayeul des étangs. 4 4 1 40 1 4 1 22
Grand glayeul 2 15 4 // 1 1 0 16
Grand jonc des rivières 3 13 5 24 1 4 0 20
Jonc à plumasseau 4 5 3 // 0 7 36 12


La combustion des quatre espèces de buis forestiers brûlés par la régie donne, pour terme moyen, en cendres, par quintal de bois sec, pour cent livres,

1 livre 1 once 1 gros 43 grains.
Le terme moyen d’un quintal de plantes brûlées par M, de Perthuis donne. 5 2 4 60
Différence
4 livres 1 once 3 gros 17 grains.

Ainsi, l’on voit que la nature des substances végétales, leur état de maturité, et le degré de combustion qu’on leur fait subir, influent d’une manière extrêmement marquée sur la quantité des produits qu’on doit en obtenir.

Quelques familles de plantes paroissent s’approprier certains sels qu’on y retrouve constamment ; les phosphates existent plus abondamment dans les végétaux des marais, le sulfate de soude dans le tamarisc, la soude, le muriate de soude, le sulfate de magnésie dans les plantes marines, et les sulfates de potasse et de chaux dans les bois des forêts.

Les cendres sont, pour les terres, un précieux engrais dont on n’a pas encore assez apprécié l’heureuse influence ; mais leur emploi le plus important est de fournir aux manufactures et aux arts la potasse et la soude, dont on fait un grand usage dans les verreries, les savonneries, les fabriques de salpêtre, les imprimeries, les teintures, etc.

Les cendres de toutes les substances végétales sont composées de silice, de magnésie, de chaux, de potasse, de soude, des acides sulfurique, muriatique, phosphorique, carbonique, et des oxides de manganèse et de fer.

Je laisse aux agriculteurs à décider si la chaux et le plâtre agissent d’une manière aussi puissante que la potasse dans la végétation ; mais ces substances ayant des propriétés très-différentes, il n’est plus permis de les confondre. (I. L. R.)

Cendres, (Économie rurale.} Dans l’article rédigé par Rozier, cet auteur a reconnu les propriétés des cendres de tourbe comme engrais, et sur-tout de celles que l’on désigne, à cause de leurs effets, sous les noms de houille d’engrais, terre, tourbe, cendres rouges ; mais il n’est entré à cet égard dans aucun détail ; on sait que c’est un amas immense de tourbe pyriteuse qui, étant amoncelé à l’air, s’y enflamme bientôt, en laissant pour résidu des cendres rouges, d’où l’on retire, au moyen de la lixiviation, des sulfates de fer et & d’alumine. Ces cendres, dédaignées autrefois, sont maintenant l’objet d’un commerce considérable pour les cantons où il y a des houillières ouvertes. On assure qu’il s’en débite, dans le seul département de la Somme, plus de trois cent mille setiers qui remontent par la Seine et là Marne jusqu’à Château-Thierry. Les qualités que doivent avoir ces cendres sont d’être fort rouges, légères, fines, et d’une saveur styptique.

Quoique toutes les cendres ne puissent pas servir indistinctement avec profit dans le blanchissage du linge, dans les verreries, dans les savonneries, dans les teintures, vu le peu d’alcali que la plupart contiennent, il n’y en a cependant aucune dont l’agriculture ne puisse tirer parti, quelle qu’en soit l’origine. L’expérience a démontré combien leur emploi est utile dans les terrains où la glaise domine ; c’est à elles qu’on doit la fertilité des campagnes situées au pied du mont Etna et du Vésuve. Il convient donc de les inscrire au rang des plus puissans engrais jour les terres fortes et humides. Fabroni les compare à la marne, et il prétend qu’il n’y en a point qui réunisse autant d’avantages ; mais ce sont sur-tout les cendres de tourbe qui ont une efficacité reconnue sur les prairies, et dont on fait, pour cette raison, un commerce fort étendu dans quelques cantons, sous le nom de cendres de mer. Il ne sera question ici que de cette espèce.

Cendres de tourbe. Indépendamment des secours que les tourbes peuvent porter dans les arts et métiers, et chez les pauvres des villes et des campagnes où le bois est rare, elles pourroient, dans leur état naturel, servir d’engrais, comme le tan et d’autres matières végétales réduites par la succession des temps à l’état de terreau ; mais ce sont sur-tout leurs cendres, et il seroit à désirer que par-tout où il existe des tourbières, on pût en profiter pour suppléer le bois dans les usines et les foyers ; il en résulteroit en même temps un amendement assuré pour les prairies dont l’extension intéresse si directement les cultivateurs, puisqu’elles les mettroient à portée de nourrir un plus grand nombre de bestiaux, et d’augmenter la masse des engrais.

Les cendres de tourbe, semblables à celles des végétaux dont elles sont les débris, fournissent, suivant les expériences de Ribaucourt, dix livres par quintal de tourbe, et au moyen de la lixiviation, deux onces de potasse. On en distingue de trois espèces :

La première, à laquelle on donne avec raison la préférence, provient de la tourbe la plus compacte et la moins terreuse : elle est pesante et d’un jaune foncé ; on la retire des fourneaux des chapeliers, teinturiers, brasseurs, etc., qui font usage de la tourbe sous leurs chaudières. Sa couleur foncée est due au fer qu’elle contient, et au recuit qu’elle a éprouvé.

La seconde espèce est d’un jaune moins intense, plus légère et moins recuite que la précédente ; elle, appartient à une tourbe moins choisie.

La troisième est encore plus légère, presque blanche : c’est un mélange de cendres de foyers produites par les tourbes les plus communes, et de cendres de bois ; beaucoup moins recherchée que les deux autres, elle est aussi inférieure en prix.

On pourroit former une quatrième espèce de cendres de tourbe, en distinguant celle que font les tourbiers avec les grumeaux et poussiers ; cette dernière, faite avec soin, ne diffère en rien de la seconde. La couleur et la pesanteur, le toucher doux, une saveur légèrement saline, sont les qualités auxquelles il faut principalement s’attacher dans le choix de la cendre de tourbe. On juge aisément par l’expérience, et avec un peu d’attention, si, pour en augmenter le poids, les marchands de tourbes n’y ont point ajouté du sable.

Comme il existe plusieurs cantons en France où, malgré la facilité de se procurer des cendres de cette nature, elles ne sont pas autant recherchées qu’elles mériteroient de l’être, cette sorte d’indifférence ne pourroit-elle pas venir de l’incertitude ou l’on est sur la qualité du sol des espèces de végétaux qui réclament le secours d’un pareil engrais ? Peut-être aussi aura-t-on eu l’imprudence d’en mettre trop à la fois, d’où l’on a conclu que non seulement les cendres retiroient la végétation, mais qu’elles l’empêchoient absolument ; peut-être encore la quantité en aura été restreinte de manière à n’obtenir que peu ou point d’effet. Mais, sans pousser plus loin l’examen des causes qui ont empêché jusqu’à présent d’adopter par-tout les cendres de tourbe comme engrais des terres fortes et humides, bornons-nous à indiquer quelques règles générales, d’après lesquelles on doit se déterminer sur la proportion qu’il faut en employer, sur la saison où il convient de les répandre, et enfin relativement à leur manière d’agir sur les terres et sur les prairies.

Quantité de cendres à répandre. Elle est relative à la qualité des cendres, à celle du terrain et des productions. Il est plus prudent de la fixer par des essais dans les endroits où l’usage de cet engrais est une nouveauté. On ne peut donc établir à cet égard que des généralités ; ainsi, on dira : 1o. qu’il faut trois setiers environ, mesure de Paris, de cendres de tourbe pour un arpent de terre labourable ou de prairies ; 2o. que la même étendue de terrain n’exige que la moitié de cendres rouges, ou houille d’engrais.

Saison pour répandre les cendres. Elle varie suivant la nature du sol et celle des productions qu’il doit rapporter. Si c’est une terre légère, il seroit bon, 1°. d’en répandre, sur le pied d’un setier par arpent, au commencement de février et avant le labour ; 2°. une pareille quantité, après que les grains auront été semés. Si la terre, au contraire, est compacte, et qu’elle retienne l’eau à sa surface, on pourra l’employer également, avec l’attention seulement d’augmenter les doses suivant le besoin, et de ne faire usage des cendres que dans un état très-sec. On observera cependant, dans le premier cas, c’est-à-dire lorsque le terrain est sec, d’attendre, pour jeter les cendres qui doivent rester à la surface du terrain, qu’il fasse un temps de brouillard, ou qui promette une pluie prochaine.

Quant à la manière de répandre les cendres, elle n’est pas sans inconvéniens ; mais le semeur s’en garantira aisément en se couvrant le visage d’une toile très-fine, et en semant contre le vent. Quelques personnes ont conseillé de semer sous le vent, c’est-à-dire de jeter l’engrais du côté où le vent pousse ; mais l’expérience n’a pas tardé à démontrer que la première de ces pratiques est préférable.

Effets des cendres sur les terres. Les engrais, considérés en général, ont deux manières d’agir sur les terres. Mêlés en différentes proportions, ils leur donnent la faculté de les rendre perméables à l’eau, et aux racines de suivre le cours entier de leur développement, ou bien ils procurent du liant et de la soudure aux molécules terreuses trop divisées, et empêchent l’eau de se perdre dans les couches inférieures, et les racines de se dessécher. Or, les cendres, par leur sécheresse, la ténuité de leurs parties, la propriété qu’elles ont de s’emparer avidement de l’humidité, de la retenir d’une manière très-divisée, conviennent aux terres compactes et glaiseuses, dont elles diminuent la viscosité en s’insinuant dans leur texture tenace, à la manière des coins. Ainsi cette humidité, réduite en surface, humecte toujours le pied de la plante, sans jamais la noyer. Lorsque les cendres ont produit un effet différent, c’est qu’elles étoient trop chargées d’alcali, qu’on n’en a point borné la proportion, et que le sol sur lequel on les a répandues n’avoit point assez d’humidité pour brider leur action ; car, disséminées sur des terres froides, et enterrées par la charrue avant les semailles, elles sont, comme la chaux, d’une grande utilité. Nous observerons même qu’on pourroit les employer dans un sol léger et sablonneux ; mais ce ne seroit qu’autant qu’elles se trouveroient associées avec une certaine quantité d’argile, comme on mêle souvent la chaux avec le fumier pour augmenter l’effet de ce dernier.

Effets des cendres sur les prairies. Les heureux effets des cendres, attestés par leur utilité sur les prairies, viennent à l’appui de nos observations. L’alcali et la terre calcaire qui s’y trouvent contenus, sont, dans la juste proportion, nécessaires pour détruire les mauvaises herbes, et favoriser l’accroissement des bonnes ; mais est-ce bien à la causticité que ces deux substances acquièrent par la calcination, qu’on peut attribuer un pareil effet, comme on le prétend ? c’est ce qui ne paroit pas vraisemblable. Si les cendres les plus riches en alcalis et en terre calcaire approchant de l’état de chaux, pouvoient, dans ce cas, avoir une action corrosive, sans doute elles l’exerceroient sur toutes les plantes, et il arriveroit nécessairement que, malgré la différence de leur tissu, il n’y en auroit aucune qui ne fut plus ou moins attaquée et détruite ; or, cet effet n’a point lieu.

Les cendres agissent d’abord mécaniquement par la ténuité de leurs parties, qui divisent les terres fortes et corrigent leur défectuosité ; ensuite, comme matière déliquescente, ayant la faculté, ainsi qu’il a été expliqué, de soutirer l’eau et l’air de l’atmosphère, de décomposer ces deux fluides, et de donner aux résultats de leur décomposition les formes qu’ils doivent avoir pour accomplir le vœu de la nature dans la végétation. Voilà du moins ce qu’il est permis de conjecturer d’après l’expérience, qui prouve que tous les sels qui se résolvent en eaux, toutes les terres calcaires approchantes de l’état de chaux vive, toutes les frittes, sont utiles comme engrais.

Ce n’est donc point par un effet corrosif que les cendres, même les plus alcalines et les plus recuites, agissent sur les prairies ; elles ne détruisent les plantes parasites, que parce qu’elles s’emparent avidement de l’humidité qui a servi à leur développement, et dont la surabondance est nécessaire à leur constitution physique et à l’entretien de leur existence. Ces plantes, naturellement molles, pour ainsi dire aquatiques, ayant les racines presqu’à la surface, sont bientôt mises à sec, par ce moyen se flétrissent, et finissent par mourir de soif ; au contraire, les plantes qui forment les prairies étant d’un tissu plus solide, fortifiées par l’âge et les rigueurs de l’hiver, ayant une racine plus profonde, ne souffrent aucune altération. Débarrassées des mauvaises herbes qui les étouffoient et partageoient, en pure perte, leur subsistance, elles reçoivent une nourriture proportionnée à leurs besoins, s’échauffent, se raniment, et font la loi aux mousses, aux joncs, aux roseaux, et à toutes les plantes qui rendent les foins aigres et durs ; d’où il résulte un fourrage plus fin et de meilleure qualité. C’est ainsi que les cendres paroissent agir dans toutes les circonstances où leur usage est recommandé, soit pour les prairies naturelles et artificielles, soit pour les pièces de grains qui languissent au printemps, et annoncent une récolte médiocre, sur-tout dans une année froide et humide, parce qu’alors les plantes qui les composent sont dans un état de leucophlegmatie, c’est-à-dire gorgées des principes qui constituent l’eau, et d’eau même.

Cette courte discussion sur la manière d’agir des cendres, explique, 1°. pourquoi elles sont d’autant plus efficaces, qu’elles ont été conservées dans l’état sec ; 2°. pourquoi une seule mesure, en cet état, fait plus de profit que deux de cendres qui auroient été exposées à l’air ; 3°. enfin, pourquoi les cendres lessivées, étant soumises de nouveau à la calcination, reprennent leur première activité, et ne contiennent point pour cela de la potasse.

Mais, sans insister davantage sur les conjectures que je viens de hasarder, relativement a la manière d’agir des cendres, toujours est-il certain que l’expérience et les observations des meilleurs cultivateurs leur assignent le caractère d’un excellent amendement ; et que si elles sont employées en raison et en proportion convenables, elles fertilisent les terres froides et humides, favorisent d’une manière très-marquée la végétation languissante, détruisent, sur les prairies et sur les grains, la mousse et les autres plantes parasites qui en tapissoient la surface, moins, il est vrai, par leur âcreté que par l’absorption brusquée et presque totale de la surabondance de l’humidité qui les fait naître, et sert à l’entretien de leur existence.

Les cendres ont encore l’avantage de détruire promptement les insectes et les limaçons, qui ne se plaisent nullement sur un terrain qui en est parsemé. On connoît aussi, dans le jardinage, leurs effets aux pieds des arbres malades et elles servent à la composition du chaulage, si efficace pour préserver le froment de la carie. (Parmentier.)