Correspondance de Voltaire/1773/Lettre 8980
8980. — À M. MARIN[1].
19 novembre.
J’ai retrouvé les cornes du Taureau ; mais je n’ai pu retrouver encore sa queue. Je suis dans mon lit depuis près de quinze jours, mon cher ami ; je n’ai pu mettre aucun ordre dans le tas énorme de mes paperasses.
Ne manquez pas, je vous en conjure, de m’instruire de votre épisode dans la comédie de Mme Goezmann.
Voulez-vous bien avoir la bonté de faire passer ces deux petits paquets à leur adresse ? Votre, etc.
- ↑ Éditeurs, de Cayrol et François.