Correspondance de Voltaire/1773/Lettre 8980

Correspondance : année 1773GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 48 (p. 504-505).
8980. — À M. MARIN[1].
19 novembre.

J’ai retrouvé les cornes du Taureau ; mais je n’ai pu retrouver encore sa queue. Je suis dans mon lit depuis près de quinze jours, mon cher ami ; je n’ai pu mettre aucun ordre dans le tas énorme de mes paperasses.

Ne manquez pas, je vous en conjure, de m’instruire de votre épisode dans la comédie de Mme Goezmann.

Voulez-vous bien avoir la bonté de faire passer ces deux petits paquets à leur adresse ? Votre, etc.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.