Correspondance de Voltaire/1773/Lettre 8927

8927. — À M. LE CONSEILLER TRONCHIN[1].
9 septembre.

Le vieux malade de Ferney n’est pas infiniment exact. Il est l’avocat des causes perdues ; occupé jour et nuit des Lally et des Morangiés, il n’a pas répondu à M. Tronchin ; mais il ne l’a pas oublié. Il lui est tendrement attaché, ainsi qu’à toute sa famille, avec les sentiments les plus inviolables.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.