Correspondance de Voltaire/1773/Lettre 8764

Correspondance : année 1773GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 48 (p. 303).
8764. — À M. GUILLAUMOT[1].
8 février 1773, à Ferney.

Les maladies qui m’accablent, monsieur, ne m’ont pas permis de vous remercier plus tôt. Votre ouvrage m’a paru très-judicieux[2]. Il est bien plus aisé de se plaindre des corvées que de construire des chemins nécessaires. Vous rendez service à l’État par vos travaux, et vous éclairez les citoyens par vos réflexions.

J’ai l’honneur d’être, avec toute l’estime que vous méritez, monsieur, etc.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.
  2. Lettre sur l’administration des corvées.