Correspondance de Voltaire/1770/Lettre 8158
8158. — À M. TABAREAU[1].
31 décembre 1770.
J’embrasse M. Tabareau tendrement et douloureusement ; nous avons fait tous les deux la plus grande perte que nous puissions faire. Je ne sais pas si on a nommé de nouveaux ministres. Je ne sais rien ; je prie M. Vasselier de m’instruire. Sa dernière lettre est charmante.
- ↑ Éditeurs, de Cayrol et François.