Correspondance de Voltaire/1770/Lettre 8155

Correspondance : année 1770, Garnier, 1882, Œuvres complètes de Voltaire, tome 47 (p. 309).

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8155. — À M. HENNIN.

Tous nos correspondants welches nous mandent aujourd’hui que c’est grand dommage ; mais supposant que nous sommes instruits de tout, ils ne nous apprennent rien ; nous ne savons pas qui est nommé^[1].

Si le plus aimable des résidents en sait quelque chose, il nous fera grand plaisir de nous le dire, afin qu’on sache à qui s’adresser.

↑ Le duc de Choiseul avait été renvoyé du ministère, et exilé. Ce fut le duc d’Aiguillon, neveu de Richelieu, qui fut nommé au ministère des affaires étrangères en juin 1771. L’intérim fut fait par le duc de La Vrillière.

[1] Le duc de Choiseul avait été renvoyé du ministère, et exilé. Ce fut le duc d’Aiguillon, neveu de Richelieu, qui fut nommé au ministère des affaires étrangères en juin 1771. L’intérim fut fait par le duc de La Vrillière.

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