Correspondance de Voltaire/1770/Lettre 8130
8130. — À M. HENNIN.
À Ferney, 19 décembre.
Il n’est point dit dans l’édit[1] que le parlement rendra compte au chancelier.
Le parlement n’a point envoyé de démission.
Il n’est pas du tout sûr que nous ayons la guerre.
Il est encore moins sûr que nous soyons payés.
Je regrette bien cette pauvre Mme Gaussen[2] ; je la suivrai bientôt, et vivat !