Correspondance de Voltaire/1764/Lettre 5678
5678. — À M. LE COMTE D’ARGENTAL[1].
18 juin.
Je ne sais, mes chers anges, si j’aurai le temps de vous dire un mot touchant la lettre ci-jointe. La poste va partir. Je viens d’écrire à M. Damilaville, qui m’a envoyé la lettre de M. de Hullin[2]. J’écris à M. de Hullin en conformité, et je vous supplie de permettre que je vous adresse la lettre.
Je supplie instamment les sages qui travaillent à la Gazette littéraire de me garder soigneusement le plus profond secret[3].