Correspondance de Voltaire/1762/Lettre 4999
4999. — À M. DEBRUS[1].
9 auguste, à Ferney.
M. Mariette travaille à un nouveau mémoire : il me mande qu’il est à désirer que l’affaire ne soit jugée que cet hiver, parce que tout le monde est à la campagne, et que nous avons besoin de rassembler toutes nos troupes.
J’embrasse tendrement M. Debrus et ses amis.
- ↑ Éditeur, A. Coquerel. — L’adresse est : « À monsieur, monsieur de Brus, à Genève. »