Correspondance de Voltaire/1745/Lettre 1779
Correspondance de Voltaire/1745
1779. — À M. DE LA REYNIÈRE[1].
À Paris, rue Traversière, 17 décembre.
Je suis dans un si triste état, monsieur, et ma santé est si empirée que je n’ai pu venir vous remercier de toutes vos bontés. Mais plus mon état est à plaindre, plus je compte sur la bienveillance que vous avez toujours eue pour moi. Je vous supplie de vouloir bien honorer de vos attentions ce paquet pour M. le cardinal Querini, qui m’est fort important. Je vous ai toujours obligation, monsieur.
J’ai l’honneur d’être, avec la plus vive reconnaissance, votre très-humble et très-obéissant serviteur.
- ↑ Éditeurs, de Cayrol et François.