Correspondance de Voltaire/1722/Lettre 64

Correspondance de Voltaire/1722
Correspondance : année 1722GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 33 (p. 75).
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64. — À M. THIERIOT[1],

chez m. hérault, au bout du quai des orfèvres, vis-à-vis le cheval de bronze.

À Marimont[2], ce 27…

Chemin faisant, mon cher ami, je vous remercie de vos soins, de vos réflexions, et surtout de votre tendre amitié. Je serai samedi à Paris. Je me flatte de souper avec vous. Souvenez-vous, je vous en prie, que je vous ai prié de vous informer si on était à Saint-Firmin. Si Gaudin m’achète un cheval, j’ai une selle. J’ai peur d’arriver avec une selle sans trouver de cheval. Je ferai comme Chapelle, qui prenait des bottes pour aller par le coche.

  1. Éditeur, de Cayrol et François.
  2. Près Mons,