Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1837

Louis Conard (Volume 8p. 248-249).

1837. À JOSÉ-MARIA DE HEREDIA.
[Croisset, 7 avril 1879].
Mon cher Ami,

Je ne saurais vous dire l’extrême plaisir que m’a causé votre second volume[1]. Comme c’est amusant ! Voilà de l’histoire !

Depuis bientôt trois mois je suis enfoncé dans des études atroces et antiplastiques. Rien que de la philosophie et du magnétisme. Votre œuvre a donc été pour moi comme un bain de Jouvence. Elle m’a donné de l’air et du soleil. Je ne fais plus que rêver à l’entrée et à la sortie de Mexico. Merci, mon cher poète, mon cher ami.

Tout à vous, ex imo.


  1. Traduction de la Véridique Histoire de la conquête de la Nouvelle Espagne de Bernal Diaz del Castillo, 4. vol. Lemerre, éd.