Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1823

Louis Conard (Volume 8p. 231-232).

1823. À X***[1].
[Croisset, début de mars, 1879, après le 11.]
(Fragment.)

[…] Je ne veux pas d’une aumône pareille, que je ne mérite pas d’ailleurs. Ceux qui m’ont ruiné ont le devoir de me nourrir, et non pas le gouvernement. Stupide ! oui ; intéressant, non ! Je suis si énervé que je n’espère plus qu’une chose, la peste russe. Ah ! si elle pouvait venir et m’emporter ! » [.....]


  1. Ce très court fragment a été publié dans les Souvenirs littéraires de Maxime Du Camp, II, 395, sous la date : 1er mars 1879. Destinataire inconnu.