Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1757

Louis Conard (Volume 8p. 148-149).

1757. À GEORGES CHARPENTIER.
[Paris], jeudi matin [septembre 1878].
Mon Bon,

Je compte sur vous dimanche, pour orner mes salons. D’ici là réfléchissez à ceci :

1o Que faire relativement à la Féerie ? Mon intention est de faire une dernière tentative à la Porte Saint-Martin.

2o Vous me direz franchement si vous reculez devant Saint Julien tel que je le désire. C’est une toquade de votre ami. Pas n’est besoin de vous gêner ; je ne vous en voudrai nullement, car, avant tout, je ne veux pas vous risquer dans une mauvaise affaire. J’irai ailleurs, voilà tout, mais je veux immédiatement savoir à quoi m’en tenir.

N. B. — Et laissez repousser votre barbe : vous êtes trop laid. Tout à vous.

Pour le moment : du Cantal.