Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1681
1681.-1682. À JEAN-BERNARD PASSÉRIEU.
[Croisset, 18 juin 1877].
Cher confrère,
Il n’existe de moi aucun portrait. Chacun a sa toquade ; la mienne est de me refuser à toute image de ma personne.
Je vous remercie des choses obligeantes que vous m’envoyez et vous serre cordialement la main.