Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1659
1659. À GEORGES CHARPENTIER.
[Paris], vendredi soir, 9 heures [avril 1877].
Nos deux lettres se sont croisées, cher ami, et je réponds immédiatement à la vôtre.
Voici le bon à tirer. Faites-le porter illico à l’imprimerie.
N. B. — Ne pas oublier que, sur la couverture, il faut un carré long (comme l’a dessiné Burty) pour enfermer les titres des Trois Contes.
Dépêchons-nous ! Dalloz, d’après mon calcul, aura fini vers le 20 ou le 22. Il faut paraître dès le lendemain.
Je ne suis pas sans inquiétude, à cause des événements politiques. Nous aurions dû paraître quinze jours plus tôt.
Tout à vous.