Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1659

Louis Conard (Volume 8p. 30-31).

1659. À GEORGES CHARPENTIER.
[Paris], vendredi soir, 9 heures [avril 1877].

Nos deux lettres se sont croisées, cher ami, et je réponds immédiatement à la vôtre.

Voici le bon à tirer. Faites-le porter illico à l’imprimerie.

N. B. — Ne pas oublier que, sur la couverture, il faut un carré long (comme l’a dessiné Burty) pour enfermer les titres des Trois Contes.

Dépêchons-nous ! Dalloz, d’après mon calcul, aura fini vers le 20 ou le 22. Il faut paraître dès le lendemain.

Je ne suis pas sans inquiétude, à cause des événements politiques. Nous aurions dû paraître quinze jours plus tôt.

Tout à vous.