Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 7/1594
1594. À SA NIÈCE CAROLINE.
[Croisset], jeudi soir, 6 heures [20 juillet 1876].
Eh bien, voilà une jolie conduite ! Pas de lettre depuis 8 jours ! J’aime à croire que tu n’es pas malade ? Mais ce n’est pas bien de laisser sans nouvelle.
Sa pauvre Nounou qui t’embrasse.
Laporte est venu ce matin déjeuner ici, et il a porté de lui-même un toast en ton honneur.
J’irai à Rouen dimanche pour la souscription de Bouilhet.
Mais où es-tu ? À Chinon ? En route ? à Tarbes ? à Lourdes ?