Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 7/1481
1481. À ÉMILE ZOLA.
Croisset, près Rouen. Dimanche soir, 2 août [1874].
Mon cher Ami,
On me dit que l’Événement de ce matin annonce le départ de Weinschenk pour les Menus-Plaisirs.
Aurions-nous un renfoncement anticipé ?
J’en ai quelque peur, d’autant plus que ledit Weinschenk, qui devait m’écrire relativement aux engagements d’acteurs, ne m’a pas donné de ses nouvelles.
Tout à vous.
Hier au soir, j’ai enfin commencé mes bonshommes.