Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 6/1333
1333. À SA NIÈCE CAROLINE.
Croisset, samedi soir, 5 heures [28 septembre 1872].
Mon Loulou,
Tu sais bien que j’obéis à tes moindres commandements. Donc demain dimanche, j’arriverai à Dieppe (par le train express de l’après-midi) pour en repartir mardi.
Je t’embrasse en signant de mon vrai nom qui est
Vache.