Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 6/1048
1048. À PHILIPPE LEPARFAIT.
Vendredi midi.
Voici ce que je reçois ce matin de Me Porcher.
Tout ce que j’y comprends, c’est que tu dois de l’argent à ladite personne.
Si nos amis Bardoux et d’Osmoy eussent été autres, on t’en devrait. Dieu sait pourtant si je les ai obsédés là dessus !
Croirais-tu que d’Osmoy ne m’a pas envoyé les deux lignes que je lui demandais pour l’affaire de la souscription Bouilhet ?
Il lui doit 300 francs ; s’il ne paye pas, je lui fourre un huissier au cul, carrément.
Réponds à Me Porcher.
À toi.