Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0914
914. À MADAME JULES SANDEAU.
[Paris] mercredi, 3 heures [mai 1867 ? ]
Ah ! Sapristi ! Comme il est difficile de se rencontrer, ma chère amie. Nous qui vous attendions aujourd’hui, nous en sommes tout « marrys ».
Je ne serai pas chez moi vendredi dans l’après-midi, parce que j’ai un rendez-vous avec un commissaire de police pour des renseignements littéraires. Mais j’y serai tout l’après-midi de samedi, et en venant à quatre heures, vous trouverez ma nièce qui rentrera pour vous recevoir.
Mille tendresses de votre vieux fidèle.