Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0855
855. À SA NIÈCE CAROLINE.
Croisset, samedi, 1 heure [11 août ? 1866].
à la belle Commanville,
Ainsi, non seulement on refuse mes invitations et on ne vient pas me voir à Croisset, mais on évite ma présence en se réfugiant jusqu’aux bords de l’Océan, les jours où l’on sait que je dois paraître.
Ah ! Ah ! Ah !
Enfin, Madame, j’ai à vous déclarer que, si vous ne venez pas lundi ou mardi déjeuner chez moi, seule avec votre mère-grand, je vous déshonorerai samedi prochain, en affichant par devers vos nobles hôtes la tenue la plus inconvenante.
Adieu. Toujours ulcéré.
Fichtre !