Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0777

Louis Conard (Volume 5p. 126).

777. À SA NIÈCE CAROLINE.
Paris, lundi matin [18 janvier 1864].

Oui, ma chère Caro, j’obéis à ton désir : je serai à Croisset le mercredi. J’avais ce jour-là un dîner, je l’ai remis ; je vais donc te voir dans le véritable état d’une jeune personne ayant un jeune homme ! Très bien ! très bien !

Embrasse bien pour moi notre pauvre vieille.

Ton ganachon d’oncle.