Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 3/0414

Louis Conard (Volume 3p. 296).

414. À LOUISE COLET.
16 août 1853, mardi, midi.

Je t’écrirai ce soir, bonne chère Muse, et verrai ta correction. N’ayant aucun dictionnaire sous la main, je ne sais à quelle époque est mort Giotto. J’essaierai de t’arranger cela ce soir.

Je n’ai pas reçu de paquet, comme il me semble que tu me l’annonces dans ta lettre de ce matin.

Voilà deux jours que je suis fort occupé et drôlement. Je n’ai pas dormi cette nuit. Je suis sur pied depuis 4 heures du matin. Je te conterai cela.

Adieu, mille baisers et tendresses.

À toi. Ton G.