Éditions Édouard Garand (p. 76).

CHAPITRE XI

CONCLUSION

Ce fut la dernière des nombreuses veillées de contes que Jean avait eu le plaisir de goûter auprès de sa tante Rose. Peu de temps après, le père de Jean s’en retourna au Canada s’établir sur une terre nouvelle, travaillant fort pour garder ses enfants au pays natal.

Ce ne fut qu’après son mariage comme il est dit au commencement de ce volume, que Jean revit sa tante et là, au travail ou au repos, il écoulait des jours heureux et repassait dans sa mémoire, tous ces petits brins de contes qui avaient réjouit son jeune âge.

En feuilletant dans ce passé d’émotions de jeunesse, reviendra-t-il un jour nous continuer la série des souvenirs du temps heureux écoulé en terre étrangère, mais qui nourrissait en son âme le « Je me souviens » du pays des aïeux ?

Espérons-le.


...FIN   ...