Connaissance des beautés et des défauts de la poésie et de l’éloquence dans la langue française/Édition Garnier/Langage
Le moyen le plus sûr et presque le seul d’acquérir une connaissance parfaite des finesses de notre langue, et surtout de ces exceptions qui paraissent si contraires aux règles, c’est de converser souvent avec un homme instruit. Vous apprendrez plus dans quelques entretiens avec lui que dans une lecture qui laisse presque toujours des doutes. Nous avons beau lire aujourd’hui les auteurs latins, l’étude la plus assidue ne nous apprendra jamais quelles fautes les copistes ont glissées dans les manuscrits, quels mots impropres Salluste, Tive-Live, ont employés. Nous ne pouvons presque jamais discerner ce qui est hardiesse heureuse d’avec ce qui est licence condamnable.
Les étrangers sont, à l’égard de nos auteurs, ce que nous sommes tous à l’égard des anciens. La meilleure méthode est d’examiner scrupuleusement les excellents ouvrages. C’est ainsi qu’en a usé M. de Voltaire dans son Temple du Goût. Je veux entrer ici dans un examen plus approfondi de la pureté de la langue, et j’ai choisi exprès la belle comédie du Misanthrope, de même que M. l’abbé d’Olivet a recherché les fautes contre la langue, échappées au grand Racine[1]. Un homme qui saura remarquer du premier coup d’œil les petits défauts de langage dans une pièce telle que le Misanthrope pourra être sûr d’avoir une connaissance parfaite de la langue. Rien n’est plus propre à guider un étranger ; et un tel travail ne sera pas inutile à nos compatriotes.
Et la plus glorieuse a des régals peu chers. (I, i.)
Une estime glorieuse est chère ; mais elle n’a point des régals chers. Il fallait dire des plaisirs peu chers ; ou plutôt tourner autrement la phrase. On dit, dans le style bas, cela est un régal pour moi ; mais non pas il y a des régals pour moi.
Et quand on a quelqu’un qu’on hait ou qui déplaît. (I, i.)
J’ai quelqu’un que je hais. L’expression est vicieuse. On dit j’ai une chose à faire ; non pas j’ai une chose que je fais[2].
Que, pour avoir vos biens, on dresse un artifice. (I, i.)
On use d’artifice, on ne le dresse pas ; on dresse, on tend un
piège avec artifice ; on emploie un artifice : on fait jouer des ressorts avec artifice.
Ne ferme point mes yeux aux défauts qu’on lui treuve[3].
Il faut remarquer que du temps de Molière on disait encore treuve. La Fontaine a dit : Dans les citrouilles je la treuve ; mais l’usage a aboli ce terme.
Mais si son amitié pour vous se fait paraître. (I, i.)
Une amitié paraît, et ne se fait point paraître. On fait paraître ses sentiments, et les sentiments se font connaître.
Non, ce n’est pas, madame, un bâton qu’il faut prendre,
Mais un cœur à leurs vœux moins facile et moins tendre.
On ne peut pas dire prendre un cœur facile, au lieu d’un bâton ; cela est évident. Facile à leurs vœux est bon ; mais tendre à leurs vœux n’est pas français, parce qu’on est tendre pour un amant, non pas tendre à un amant.
...... Et ses soins tendent tout
Pour accrocher quelqu’un.
Les soins peuvent tendre à quelque chose, mais non pour quelque chose[4]. Mes vœux tendent à Paris, et non pour Paris.
Et son jaloux dépit qu’avec peine elle cache,
En tous endroits sous main contre moi se détache.
Le dépit peut se déchaîner contre quelqu’un, s’attacher à le décrier, éclater, etc. On détache un ennemi, un parti ; on se détache de quelqu’un.
On vous voit en tous lieux vous déchaîner sur moi.
On s’emporte, on se déchaîne, on s’irrite, on crie, on cabale contre une personne, et non sur elle ; on se jette, on tire sur elle, on épuise la satire sur elle.
Et monsieur, qu’à propos le hasard fait venir,
Remplira mieux ma place à vous entretenir.
On ne peut dire je remplis la place à travailler ; il faut dire en travaillant. Je remplis la place par mon travail. Je remplis la place de monsieur, en m’entretenant avec vous.
Pour peu que d’y songer vous nous fassiez les mines.
Faire mine de quelque chose est une bonne expression dans le style familier. Je fais mine de l’aimer. Je fais mine de l’applaudir. Faire la mine signifie faire la grimace ; et on ne doit pas dire : je fais la mine d’aimer, la mine de haïr ; parce que faire la mine est une expression absolue, comme faire le plaisant, le dévot, le connaisseur.
Oui, toute mon amie elle est, et je la nomme
Indigne d’asservir…
Il faut dire toute mon amie qu’elle est et non pas toute mon amie elle est ; et je la nomme, cet et est de trop ; je la nomme est vicieux ; le terme propre est je la déclare. On ne peut nommer qu’un nom. Je le nomme grand, vertueux, barbare. Je le déclare indigne de mon amitié.
Renverse le bon droit, et tourne la justice.
L’expression tourne la justice n’est pas juste. On tourne la roue de la fortune ; on tourne une chose, un esprit même, à un certain sens ; mais tourner la justice ne peut signifier séduire, corrompre la justice.
Au bruit que contre vous sa malice a tourné.
Tourner un bruit ne peut pas plus se dire que tourner la justice. On peut tourner des traits contre quelqu’un ; mais un bruit ne peut être une chose qui se tourne.
On peut aisément remarquer que l’exposition de ces fautes n’est pas d’un critique malin qui cherche vainement à rabaisser Molière, mais d’un esprit équitable qui veut combattre l’abus qu’on fait quelquefois des écrits de ce grand homme, en citant, pour des autorités consacrées, des fautes de langue. C’est dans cette vue innocente et utile que je veux examiner la tragédie de Pompée de Pierre Corneille.
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Sont les titres affreux dont le droit de l’épée[5],
Justifiant César, a condamné Pompée.
On ne peut pas dire le titre dont on condamne, mais le titre sur lequel, par lequel, ou le titre qui condamne.
Et qui veut être juste en de telles saisons[6]
Balance le pouvoir, et non pas les raisons.
En de telles saisons est une expression lâche et vicieuse. Balance le pouvoir n’est pas le mot propre ; il voulait dire consulte son pouvoir.
Cet hémistiche et non pas les raisons dit tout le contraire de ce qu’il doit dire. Ce sont précisément les raisons, c’est-à-dire la raison d’État qu’on examine et qu’on pèse.
Soutiendrez-vous un faix sous qui Rome succombe[7],
Sous qui tout l’univers se trouve foudroyé ?
Le mot foudroyé est très-impropre ; un fardeau ne foudroie pas, il accable.
Mais quoique vos encens le traitent d’immortel[8].
Le mot d’encens ne peut admettre de pluriel. Il fallait absolument votre encens.
Et cesse de devoir, quand la dette est d’un rang[9]
À ne point l’acquitter qu’aux dépens de leur sang.
On ne dit point le rang d’une dette, mais la nature d’une dette ; et il fallait dire : à ne s’en acquitter qu’aux dépens de leur sang. La négative point ne se met jamais avec ne, quand elle est suivie d’un que. Je ne corrigerai ce vers que quand on m’en aura montré le défaut. Je n’irai à Paris que quand je serai libre ; je n’écrirai que quand j’aurai du loisir, etc.
Assurer sa puissance et sauver son estime[10].
Sauver n’a là aucun sens. Il ne veut pas dire conserver sa réputation, il ne signifie pas conserver son estime ; il est un barbarisme inintelligible.
Trop au-dessous de lui pour y prêter l’esprit[11].
Prêter l’esprit n’est pas français ; mais c’est une licence qu’on devrait peut-être accorder à la poésie.
Et son dernier soupir est un soupir illustre[12].
Soupir illustre est bon, à la vérité, en grammaire ; mais en poésie il tient un peu du phébus.
La construction est vicieuse : elle serait pardonnable à une grande passion ; mais ici c’est Cléopâtre qui parle de sang-froid.
Il en coûte la vie et la tête à Pompée[15] !
On sent combien la tête est de trop.
Je connais ma portée, et ne prends point le change[16] ;
...................
Vous montrez cependant un peu bien du mépris.
Ces deux vers, et surtout le dernier, sont des expressions basses et populaires, et un peu bien du est barbare.
Et plus dans l’insolence elle s’est emportée[17].
On s’emporte à des excès d’insolence ; on s’emporte avec insolence, à trop d’insolence, et non pas dans l’insolence.
De s’en plaindre à Pompée auparavant qu’à lui[18].
Il fallait avant qu’à lui. L’adverbe auparavant ne sert jamais de conjonction. On ne dit point : Je passerai par Strasbourg auparavant d’aller à Paris ; mais avant d’aller à Paris, ou avant que d’aller à Paris.
De relever du coup dont ils sont étourdis[19],
Il fallait de se relever ; étourdis est trop bas.
Quoi qu’il en fasse, enfin[20].
Il faut quoi qu’il fasse, surtout dans le style noble.
Il venait à plein voile[21]
On dit pleines voiles. Ce mot voile est féminin.
Voilà ce qu’attendait[22],
Ce qu’au juste Osiris la reine demandait.
Le régime de ces deux verbes est mal placé ; c’est une faute, mais légère.
Tout beau, que votre haine en sang assouvie[23]…
Et pour en bien parler, nous vous devons le tout.
Tout beau, nous vous devons le tout, sont des termes bas et comiques ; mais ce ne sont pas des fautes grammaticales.
Il nous fallait, pour vous, craindre votre clémence[24],
Et que le sentiment d’un cœur trop généreux,
Usant mal de vos droits, vous rendît malheureux.
Toute cette phrase est mal construite. Voici le sens : Votre clémence était dangereuse pour vous : et nous avons craint que, par un sentiment trop généreux, vous ne vous rendissiez malheureux en usant mal de vos droits.
Je m’apaiserais Rome avec votre supplice[25].
On ne peut point dire s’apaiser quelqu’un, comme on dit s’immoler, se concilier, s’aliéner quelqu’un.
Comme a-t-elle reçu les offres de ma flamme[26] ?
Comme, au lieu de comment, était déjà une faute du temps de Corneille.
On traite avec mépris ; on a du mépris ; on ne fait point de mépris.
D’un astre envenimé l’invincible poison[28].
L’invincible poison d’un astre est une pensée fausse, mal exprimée, quoique la grammaire soit ici observée.
Qu’il eût voulu souffrir qu’un bonheur de mes armes[29].
Il fallait que le bonheur de mes armes.
Quoi ! de la même main et de la même épée,[30]
Dans un tel désespoir à vos yeux a passé.
Comment peut-on passer d’une main et d’une épée dans un désespoir ?
Quelques soins qu’ait César.[31]
On prend des soins, on a soin de quelque chose, on agit avec soin ; mais on ne peut dire, en général, avoir des soins.
Pour de ce grand dessein assurer le succès[32].
Cette inversion n’est pas permise. On en sent la raison. Elle vient de la dureté de ces deux monosyllabes pour de.
Ainsi que la naissance ils ont les esprits bas[33].
Il fallait ils ont l’esprit bas, surtout naissance étant au singulier.
De quoi peut satisfaire un cœur si généreux[34],
Le sang abject et vil de ces deux malheureux.
De quoi peut satisfaire n’est pas français ; il fallait comment ou en quoi.
J’en ai déjà parlé ; mais il a su gauchir[35].
Gauchir est un terme trop peu noble.
C’est ce glorieux titre à présent effectif[36].
Effectif est un terme de barreau.
À mes vœux innocents sont autant d’ennemis[37].
Il fallait de mes vœux ; on n’est pas ennemi à, on est ennemi de.
Permettez cependant qu’à ces douces amorces[38]
Je prenne un nouveau cœur et de nouvelles forces.
Ces deux vers sont un galimatias, pour le sens et pour l’expression. Des amorces ne donnent pas des forces, et on ne se sent pas un cœur nouveau à une amorce.
Mes yeux, puis-je vous croire, et n’est-ce point un songe[39]
Qui sur mes tristes vœux a formé ce mensonge ?
Un songe qui forme un mensonge sur des vœux, forme une phrase trop entortillée et trop peu exacte. C’est du galimatias.
Qu’avec chaleur, Philippe, on court à le venger[40].
On court venger, saisir, prendre, combattre. On ne court point à combattre, à prendre, à saisir, à venger.
Pour grand qu’en soit son prix, son péril en rabat[41].
Pour grand que n’était plus en usage dès le temps de Corneille. On ne trouve pas de ces expressions surannées dans les Lettres provinciales, qui sont de même date[42]. Il en rabat est un terme de tout temps ignoble.
Je n’aimais mieux juger sa vertu par la nôtre[43].
Il faut juger de sa vertu par la mienne. Il n’est pas permis de joindre, en cette occasion, le pluriel au singulier. Phèdre, dans Racine, au lieu de dire
J’excitai mon courage à le persécuter,
Parce qu’au point qu’il est, j’en voudrais faire autant[44].
Parce que fait toujours, en vers, un très-mauvais effet ; au point qu’il est est actuellement suranné et familier.
Je ne viens pas ici pour troubler une plainte[45]
Trop juste à la douleur dont vous êtes atteinte.
Il fallait dire permise à la douleur, et non pas trop juste. Une plainte n’est pas juste à la douleur comme un habit est juste au corps.
Vous êtes satisfaite, et je ne la suis pas[46].
Il faut je ne le suis pas, parce que ce le est neutre et indéclinable. Si on demandait à des dames : êtes-vous satisfaites ? elles répondraient : nous le sommes, et non pas nous les sommes. Ainsi une femme doit dire je le suis, et non je la suis.
Aucuns ordres ni soins n’ont pu le secourir[47].
Il fallait aucun ordre, aucun soin n’a pu le secourir.
Leur roi n’a pu jouir de ton cœur adouci[48] ;
Et Pompée est vengé ce qu’il peut l’être ici.
De ton cœur adouci ne peut se mettre au lieu de ta clémence. Ce qu’il peut l’être ne peut être reçu pour signifier autant qu’il peut l’être, et c’est une grande faute de langage dans un auteur moderne d’avoir mis
Je vous aime tout ce qu’on peut aimer.
Ta nouvelle victoire, et le bruit éclatant[49]
Qu’aux changements de roi pousse un peuple inconstant.
Un peuple qui pousse un bruit aux changements de roi est un galimatias insupportable.
Et parmi ces objets ce qui le plus m’afflige[50].
Il n’est pas permis, dans le style noble, de placer ainsi l’adverbe au devant du verbe. On ne peut pas dire en vers héroïques ce qui davantage me plaît, ce que patiemment je supporte, ce qu’à contre-cœur je fais, ce que prudemment je diffère.
......J’ajoute une requête[51].
Ce terme du barreau n’est point admis dans la poésie noble.
Faites un peu de force à votre impatience[52].
Calmez, modérez votre impatience ; mettez un frein à votre impatience, voilà le mot propre. Faire force est barbare.
...Non pas, César, non pas à Rome encor[53] :
Il faut que ta défaite et que tes funérailles
À cette cendre aimée en ouvrent les murailles ;
Et, quoiqu’elle la tienne aussi chère que moi…
Cette elle tombe sur Rome, et semble tomber sur la cendre de Pompée par la construction de la phrase. Aussi chère que moi, on ne sait si c’est Cornélie qui est aussi chère, ou si c’est à elle que cette cendre est aussi chère. Ces amphibologies jettent une obscurité désagréable dans le style. Je n’ai relevé que celle-ci pour n’être pas trop long ; mais la tragédie que j’examine est pleine de ces obscurités. C’est un défaut qu’il faut éviter avec soin.
Et quand tout mon effort se trouvera rompu[54].
On rompt un projet, une ligue, des liens, une assemblée ; on arrête un effort, on s’y oppose, on le surmonte, on le rend inutile, etc.
J’ai vu le désespoir qu’il a voulu choisir[55].
On entre dans le désespoir, on s’abandonne, on se livre au désespoir ; on ne le choisit pas.
On dit bien notre destin, la fatalité ordonne, etc., mais on ne dit pas il est de la fatalité, comme on dit il est d’usage ; l’aigreur est un terme très-impropre ; et l’amertume s’oppose à la douceur, et non à la félicité.
Je me suis arrêté, dans cet examen, uniquement aux fautes de langage, et je n’ai pas parlé des vices du style, dont le nombre est prodigieux. Cette discussion n’était pas de mon sujet, non plus que les beautés de détail dont cette tragédie vicieuse et irrégulière est remplie.
La lecture assidue des bons auteurs vous sera encore plus nécessaire, pour vous former un style pur et correct, que l’étude de la plupart de nos grammaires. Ce qu’on apprend sans peine et par le secours du plaisir se fixe bien plus fortement dans la mémoire que ce qu’on étudie avec des dégoûts dans des préceptes secs, souvent très-mal digérés, et dans lesquels on ne trouve que trop de contradictions. Je recommande surtout aux jeunes gens de ne point lire la nouvelle grammaire de l’abbé Girard[57] : elle ne ferait qu’embarrasser l’esprit par les nouveautés difficiles dont elle est remplie ; et surtout elle servirait à corrompre le style. Jamais auteur n’a écrit d’une manière moins convenable à son sujet. Il affecte ridiculement d’employer des tours et des phrases qu’on proscrirait dans ces romans bourgeois et familiers dont nous sommes rassasiés. Qui croirait qu’un auteur qui veut instruire la jeunesse se serve des expressions suivantes dans une grammaire raisonnée ?
« On aura beau fulminer contre mes termes, un discours est une pièce émaillée de différentes phrases.
Les mots doivent, dans le discours, répondre par le rang et l’habillement à leurs fonctions. Les mots au pluriel ont la physionomie décidée.
Le district du pronom, la portion dont il est doté ; les déclinaisons sont battues et terrassées. »
Non-seulement tout ce livre est écrit dans ce misérable style, mais il y a beaucoup de fautes contre la langue. Par exemple, habillement de la nuit, pour habillement de nuit ; quoi faire, pour que faire ; c’est soi qui fait, au lieu de dire on fait soi-même.
Enfin il y a des termes obscènes, malgré le grand précepte de Quintilien qui ordonne d’en éviter jusqu’aux moindres apparences.
Les grammaires de l’abbé Régnier-Desmarets et de Restaut[58] sont bien plus sages et plus instructives.
- ↑ Remarques grammaticales sur Racine, 1738.
- ↑ Ce n’est pas la même expression, ni le même sens.
- ↑
À ces vers du Misanthrope, acte Ier, scène ire,
Non, l’amour que je sens pour cette jeune veuve
Ne ferme point mes yeux aux défauts qu’on lui treuve,
Voltaire a, s’il faut en croire Ximénès, substitué ceux-ci :
Non, sans doute, et les torts de cette jeune veuve
Mettent cent fois le jour ma constance à l’épreuve.
Voyez Œuvres de Molière, édition Louis Moland, tome IV, page 58. - ↑
On lit dans Molière, acte III, scène iii :
Et ses soins tentent tout
Pour accrocher quelqu’un.La remarque est sans objet. - ↑ Acte Ier, scène Ire, vers 13 et 14.
- ↑ Ibid., vers 51 et 52.
- ↑ Ibid., vers 70-71.
- ↑ Acte I, scène ire, v. 127.
- ↑ Ibid., 139-140.
- ↑ Ibid., 181.
- ↑ Acte {{rom-maj|II, scène ii. v. 78.
- ↑ Acte {{rom-maj|II, scène ii, v. 80.
- ↑ Ibid., 129.
- ↑ Ibid., 135-36.
- ↑ Acte III, scène iii, 15.
- ↑ Ibid., 35, 43.
- ↑ Ibid., scène iv, 2.
- ↑ Ibid., 8.
- ↑ Acte II, scène iv, 48.
- ↑ Ibid., 63.
- ↑ Acte III, scène ire, v. 23.
- ↑ Ibid., 79-80.
- ↑ Acte III, scène II, v. 75 et 70.
- ↑ Ibid., v. 88-90.
- ↑ Ibid., 124.
- ↑ Ibid., scène III, v. 9.
- ↑ Acte III, scène III. 10-20.
- ↑ Ibid., scène IV, v. 40.
- ↑ Ibid., 65.
- ↑ Acte IV, scène ire, v. 1 et 4.
- ↑ Ibid., 73.
- ↑ Ibid., 104.
- ↑ Ibid., 15.
- ↑ Ibid., 43-44.
- ↑ Acte IV, scène ire, 52.
- ↑ Ibid., scène iii, 39.
- ↑ Ibid., 56.
- ↑ Ibid., 93-94.
- ↑ Acte V, scène ire, v. 1 et 2.
- ↑ Ibid., 87-88.
- ↑ Ibid., 95.
- ↑ Pompée est de 1641 ; les Lettres provinciales sont de 1656.
- ↑ Acte V, scène ire vers 102.
- ↑ Ibid., vers 104.
- ↑ Ibid., scène ii, vers 1 et 2.
- ↑ Acte V, scène ii, 20.
- ↑ Ibid., scène iii, vers 27 et 28. Ce texte est encore celui de l’édition de 1664 ; mais on lit dans l’édition de 1682 :Ni vos vœux ni nos soins n’ont pu le secourir.
- ↑ Acte V, scène iv, vers 3 et 4. Voltaire, dans son Commentaire sur Corneille, trouve énergique le ce qu’il peut l’être, qui est condamné ici.
- ↑ Acte V, scène iv, vers 7 et 8.
- ↑ Ibid., 9.
- ↑ Ibid., 13.
- ↑ Acte V, scène iv, 33.
- ↑ Ibid., 36.
- ↑ Ibid. vers 79.
- ↑ Acte V, scène v, vers 18.
- ↑ Ibid., 33.
- ↑ Vrais Principes de la langue française, 1747, deux volumes in-12.
- ↑ L’une, de 1705 ; l’autre, de 1730.