Cahiers personnels, Adélaïde de Brunswick/Notes pour les journées de Florbelle


NOTES
POUR
LES JOURNÉES DE FLORBELLE
OU LA NATURE DÉVOILÉE.

DERNIÈRES ANALYSES
ET DERNIÈRES OBSERVATIONS
SUR CE GRAND OUVRAGE.


[1.]
Tome premier.

Cet ouvrage commence par un programme de frontispice, un avis d’éditeur fort court, et contenant l’éloge de l’auteur et l’aveu formel qu’il est de l’auteur de Justine, une préface de l’auteur aux libertins de tout sexe et de tout âge, une épître dédicatoire à Dieu, une introduction, le nom des interlocuteurs.

Premier dialogue, contenant trente-six pages. Vient ensuite le traité sur la religion, fait par l’abbé de Modose, commençant à la page 69, finit à la page 130. À 131, reprend le second dialogue ; il mène à 137, et là finit la première journée. La dissertation sur l’âme commence à 139 et mène à 191 ; là, reprend le troisième dialogue. La dernière journée finit à la cent quatre-vingt-seizième page. Vient ensuite le traité sur Dieu, qui prend de 198 à 300. Là, commence le quatrième dialogue ; il a trois pages et termine le premier volume et la troisième journée.


[2.]
Second volume.

Le lieu de la scène change et se tient dans un bosquet de myrtes et de roses.

On commence par un traité de la morale qui prend page 1 jusqu’à la page… ; il est divisé en onze sections et mène à la cent soixante-quinzième page. Là, reprend le cinquième dialogue, dans lequel se trouve l’aventure du pauvre bûcheron ; on projette là le meurtre de l’ermite, et il est, à cet effet, conduit dans les prisons du château, et là, page 194, finit le cinquième dialogue et la quatrième journée. Ensuite commence Vénus impudique ou l’Art de jouir, qui prend page 197 et conduit à la page …, il est divisé en une introduction et onze sections.

Le second volume finit dans le cours de la neuvième section ; là, finit aussi la cinquième journée.


[3.]
Troisième volume.

Il commence par la suite de la neuvième section, qui contient le projet de trente-deux maisons de prostitution dans Paris. Dans la dixième section est le savant traité de l’antiphysique. La seconde partie, des goûts, est composée de six sections ; elle commence page 138 et finit à 247.

Là, commence le sixième dialogue, qui finit avec le troisième volume et la sixième journée. C’est là qu’on expédie l’ermite ; Eudoxie est bien vexée, mais bien fraîche encore.


[4.]

Le quatrième volume contient les quatorzièmes premiers chapitres de l’histoire de Modose ; il termine la septième journée ; il n’y a point de dialogue.


[5.]

Le cinquième volume contient onze chapitres de la même histoire et finit par le vingt-cinquième et la huitième journée. D’ici, le nom d’Adèle est changé en celui d’Amélie (1). Eudoxie est très molestée ; ses fesses et ses tétons s’en ressentent. Il n’y a point de dialogue.


[6.]

Le sixième volume commence par le vingt-sixième chapitre et finit par le trente-quatrième, lequel termine l’histoire de Modose et la neuvième journée.

Dans le dialogue d’ensuite, qui doit commencer le septième volume, Eudoxie est expédiée[1].

Projets.

[7.]

Il faut, après le dernier chapitre de cette histoire, qui terminera la neuvième journée, commencer le septième dialogue, où sera la mort d’Eudoxie, par un supplice rare et terrible. Après ce dialogue, Modose engagera Émilie à raconter l’histoire de sa vie, ce qu’elle fera dans quatre gros volumes, semblables à ceux de l’histoire de Modose. Il n’y aura point de dialogues dans le cours de cette narration, mais, quand elle finira, on commencera le huitième dialogue, qui sera pris de la fin du deuxième volume de la Philosophie dans le boudoir. Mort de Mme  de Mirval (2) : à la marquer d’après ce plan. Avec la fin de l’histoire de Modose finira la neuvième journée ; avec le premier d’Amélie (3) finira la dixième journée, laquelle a commencé par le supplice d’Eudoxie, sans dialogue. Avec le deuxième d’Amélie finira la onzième journée, sans dialogue[2].

Avec le troisième d’Amélie finira la douzième journée, sans dialogue.

Avec le quatrième et dernier d’Amélie finira la treizième journée, sans dialogue. Alors commencera le huitième dialogue, mais on pourra se permettre des interruptions[3].


[8.]

Il faut observer que je destine les vingt cahiers de l’histoire de Valrose à former l’histoire d’Amélie, et qu’il faut faire raconter à la femme Amélie tout ce que je mets dans la bouche de l’homme Valrose[4], de manière que la totalité de cet ouvrage sera composée de huit dialogues, de treize journées, d’un traité de morale, d’un de religion, d’un sur l’âme, d’un sur Dieu, d’un sur l’art de jouir, du projet de trente-deux bordels d’hommes et de femmes pour Paris, d’un traité de l’antiphysique, et de deux romans, celui de Modose et celui d’Amélie, de dix gros cahiers enfin, qui doivent, à l’impression, rendre au moins vingt volumes[5].


[9.]

Après un léger examen du roman de Valrose, destiné à former les mémoires d’Amélie de Volnange, j’en ai été très content, et l’ai mis au net. J’ai seulement fait l’observation qu’il y avait peut-être un peu des longueurs très susceptibles d’être retranchées, et qu’il ne fallait point placer chez Sénarpont des détails de fêtes qui peuvent, dans la suite, servir d’aventures[6]. Il faut décidément qu’Émilie soit nièce de Sénarpont et séduite par lui[7]. Il faut en avouer qu’elle est très bien en homme, et vous la promènerez ainsi, tantôt en homme, tantôt en femme, dans toutes les mêmes situations que Valrose ; elle se mariera à Modène avec M. de Volnange, et c’est avec lui qu’elle aura toutes les dernières histoires, celle de Lille, etc[8]. Elle le perd en revenant en Europe, et retrouve de même Roxane, avec laquelle elle revient dans le bien de ses pères, au château de Florbelle, voisin de celui où elle mit le feu dans son enfance et dans lequel tout ceci se passe.

Notes pour le travail.

[10.]

Il faut que l’événement de Rose chez le Juif soit l’ouvrage de Sophie.


[11.]

Ôtez le nom de Zoé.


[12.]

Donnez quelque inquiétude à Rose, quand Modose veut la mener chez le Juif, parce que c’est là où il la perdra.


[13.]

La femme qu’il tue, au château où il va avec son père, n’est pas sa mère.


[14.]

Peignez Sophie le trahissant[9].


[15.]

Quand vous trouverez l’article où Sophie sauve la vie de son père[10], intercalez-le de suite à la récapitulation de Sophie à la dix-huitième page du septième cahier.


[16.]

Que le Juif ne dise pas à Modose que Radzivil a tué des individus de sa famille : il vaut mieux que Radzivil l’apprenne lui-même à Modose, comme il le fait après.


[17.]

Sophie dit qu’elle n’a éprouvé aucun mauvais traitement chez Radzivil.


[18.]

Établissez bien que c’est Sophie qui a perdu Rose chez le Juif.


[19.]

Vérifiez, en lisant, si vous avez disposé d’Adrienne.


[20.]

Si Sophie est traîtresse, comment a-t-elle pu écrire les lettres qu’on voit à la fin du second volume rouge[11] ?


[21.]

Rappelez-vous bien que Mme  de Mirval a été renvoyée à Paris avec Oella de Belgorod, et qu’elle a fait deux enfants, mais que vous n’avez pas encore certitude du second, puisqu’elle part grosse avec Oella[12].


[22.]

N’oubliez pas d’expliquer à la fin ce que c’est que le vieillard et cette jeune fille qu’ils suivent partout.


[23.]

Ce vieillard intéressant ne doit point s’appeler Delfrancs, puisqu’il est père de la mère de Modose, et non de son père.


[24.]

N’oubliez pas qu’Émilie trouve Modose à Marseille, et qu’elle doit de même finir ses aventures par cette ville[13].

Notes sur l’histoire d’Émilie.

[25.]

Je commence le net le 5 mars 1806. J’ai mis un an juste à faire seize cahiers[14].


[26.]

Je serais d’avis de l’appeler Émilie de Valrose[15]. Il faudra conserver cela dans la [relecture]. Elle est Émilie de Valrose, femme Volnange.


[27.]

L’aumônier se nomme Du Trochet[16].


[28.]

Euphrasie : joli nom à prendre[17].

Notes essentielles.

[29.]

Retranchez beaucoup de fêtes de Sénarpont : ces événements-là valent mieux en aventures[18].


[30.]

Le premier jeune homme s’appelle Zirphile, le second Roselli[19].


[31.]

Un couvent délicieux est indiqué, cahier IV[20].


[32.]

Le fils de Sénarpont s’appelle Octave[21].


[33.]

Le titre de Modose doit être : Le Triomphe du Crime, ou l’Histoire véritable de l’abbé de Modose.


[34.]

Il y a chez Sénarpont deux salles, dont l’une contient douze garçons, l’autre douze filles ; les premiers ne sont pas pris dans la classe indigente, mais les filles le sont. Dans l’une est un échafaud, dans l’autre une cage.


[35.]

Femmes du comte[22]. — Catherine, épouse, dix-huit ans ; Louise, sa fille aînée, dix-sept ans ; Jeanne, quinze ans ; et Marie, treize ans[23].


[36.]

Alaïre : joli nom à placer[24].


[37.]

Reparlez d’Octave, laissé dans une des loges de la salle où est la cage de fer. Dans l’autre salle est l’échafaud.


[38.]

Vous avez fait un festin dans la salle à la cage de fer : faites-en un dans la salle où est la potence.


[39.]
Personnages des orgies.

Mme  de Saint-Elme, trente-deux ans ; son fils, quatorze ; M. de Valrose, trente-cinq ans ; Milli (5) de Valrose, quatorze ans ; Catherine, épouse, dix-huit ans ; Louise, dix-sept ans ; Jeanne, treize [ans] ; Alaïre, fille de Charolais, seize ans ; Octave, fils du comte, quinze ans : onze en tout, dont quatre hommes et sept femmes (6).

Louis XV a vingt-huit ans, Charolais trente-huit, Soubise trente-cinq, Sénarpont trente-trois[25].


[40[26].]

Puisqu’elle a quinze ans chez Sénarpont, dites-le donc au premier soir où elle dit son âge et où elle ne se donne [que] douze ou treize ans, et, en général, vérifiez tous les âges dans cette partie. Il n’y en a aucun d’accord ni de juste : il vaut mieux les négliger tous.


[41[27].]

Louis XV naquit en 1710 : donc, en 1739, époque où ceci se passe, il avait vingt-neuf ou vingt-huit [ans]. C’est donc bien comme cela est. Quant à Charolais et Soubise, ils pouvaient bien avoir dix ans de plus.


[42.]

Un prêtre[28] ; deux enfants de chœur ; Zirphile et Valrose, vêtus en diables.

Victimes. — Le jeune Saint-Elme ; Octave ; M. de Saint-Elme ; Mme  de Valrose ; Alaïre, fille de Charolais ; Catherine, épouse de Sénarpont ; Louise et Jeanne, ses filles. Zirphile les accompagne en esclave grec (7).

Agents. — Sénarpont ; Charolais ; Soubise ; Louis XV. Il y a aussi deux vieilles servantes et deux bourreaux ; il y a en tout quatre bourreaux.


[43.]

J’ai donné un gros vit à Louis, beaucoup d’apathie ; plus d’art à Soubise. Le cardinal de Fleury en est : il ne fout qu’en bouche[29].


[44.]

Note. — Il faut que votre division soit par chapitre.


[45.]

Souvenez-vous que vous n’avez plus à la fête que Charolais, Louis et Sénarpont avec Émilie.


[46.]

C’est Louis qui se verra l’une des trois Grâces.


[47.]

Il y a sûrement des fautes graves dans la chronologie des âges, surtout dans celui d’Émilie et dans la concordance du sien avec ceux du roi, de Charolais et de Sénarpont ; corrigez cela.


[48[30].]

Prenez garde que l’aventure du couvent des filles où sont fouettées des pensionnaires est deux fois ; il faudra supprimer celle du voyage.


[49.]

Il a fallu soixante-douze cahiers pour tout l’ouvrage ; ce sera quatre volumes de dix-sept ou vingt cahiers[31].


[50.]

Le premier quart de l’ouvrage a été fini le 10 juillet 1806 ; il contient dix-sept cahiers ; il a duré quatre mois et cinq jours.


[51.]

Le titre est :

Mémoires d’Émilie de Valrose[32]
ou les Égarements du libertinage.


C’est en montrant la vie à nu
Que l’on ramène à la vertu.


Londres, 1807.

[52.]

Le premier volume a dix-sept cahiers et se termine par la note ci-jointe : Modose et Émilie furent passer la nuit ensemble, et, comme il faisait un temps superbe le lendemain, ce fut au fond du labyrinthe que Mme  de Valrose reprit la suite de ses aventures.

Ce premier volume contient trois chapitres ; tout est par chapitre[33].


[53.]

N[ota bene]. — Le château s’appelle Florbelle : il vaudra donc mieux l’appeler Émilie de Florbelle.


[54.]

Le titre principal est :

Les Entretiens du château de Florbellel[34],
ouvrage moral et philosophique
suivi de
la sainte Histoire de l’abbé de Modose
et des Mémoires pieux d’Émilie de Volnange[35],
ornés de gravures édifiantes.
En Hollande, 1799.

[55[36].]

Il est bon d’observer et de corriger que tantôt le petit morceau de scènes de fond, qui lie l’ouvrage, se trouve à la fin des volumes, tantôt au commencement. Il faut toujours le faire au commencement.


[56[37].]

Essentiel. — Observez donc qu’Eudoxie est expédiée au commencement de l’histoire d’Émilie, et de mettre en tête du septième volume ce qui, sur cela, termine le sixième.


[57.]

Le huitième volume, deuxième de l’histoire d’Amélie (8), se lit dans le labyrinthe ; Eudoxie n’est plus[38].


[58.]

Il faut commencer à présent le quatrième chapitre de l’histoire d’Émilie. — 15 juillet 1806[39].


[59.]

Corrigez l’âge de Roxane ; dites, dès que vous l’employez dans la fin du premier volume d’Émilie, comme maîtresse des enfants qu’on fouette sur ses épaules, qu’elle n’a que vingt-cinq ans, vu que vous le dites après[40].


[60.]

Ne dites pas que Roxane, dans son histoire, conduit les enfants de Deschamps, pendant cinq ans, chez d’Argenson, car M. d’Argenson meurt au bout d’un an ; dites qu’elle ne les conduit qu’un an[41].


[61[42].]

Il est de toute nécessité que vous donniez au moins seize ans à Valrose, quand Sénarpont la rencontre, que ses aventures durent vingt ans, et qu’elle en ait trente-six quand elle finit.


[62.]

Voyez si vous n’avez pas établi deux fois le supplice des jambes écartées sur un flambeau ardent, car il l’est avec Sandieu.


[63.]

Le second volume d’Émilie, et huitième de l’ouvrage, a été fini de mettre au net le 28 octobre 1806, ce qui a fait sept mois, moins trois jours, pour cette première moitié, et trente-quatre cahiers ; d’après cela, il est impossible que tout finisse avant les premiers jours de mai 1807[43].

Le second volume d’Émilie finit à la onzième journée, le troisième à la douzième, et le troisième finit la douzième journée.


[64.]

Au couvent de Turin. — Félix, douze [ans] ; Florentin, treize ; Jules, quinze ; Maxime, quinze et demi.

Hildefonse, Augustin, Anastase (oncle), Théodore, Francisque.


[65[44].]

Maseline : joli nom d’homme à prendre.

Il faut qu’Augustin soit jeune, car il a sa mère.

Les portraits des quatre seigneurs pour terminer le quarante-troisième cahier.

N’oubliez pas son agrégation (9) à la classe des incendiaires de Parme, en vertu de laquelle elle s’est obligée de faire des prosélytes en Italie et de surveiller les opérations de cette société.


[66.]

Note très essentielle. — Dites, au commencement, que sa naissance est mystérieuse et qu’elle ne peut l’expliquer dans le cours de son histoire, et cela, à cause de cette mère et cette sœur que je lui fais retrouver.


[67.]

Le chapitre X est au commencement du quarante-huitième et [du] quatorzième cahier.


[68.]

Il faudra changer partout le nom de Valrose en celui de Volnange[45].


[69.]

C’est à la fin du troisième volume des mémoires de Modose que l’abbé dit avoir connu Émilie et s’être lié à elle ; il le dit très succinctement ainsi, en finissant les mémoires d’Émilie. Il faudra la faire arriver à Marseille de même, et s’appesantir un peu davantage sur cette liaison, si vous le jugez à propos ; mais si vous voulez revoir l’article de Modose qui en parle, c’est à la dernière phrase du troisième volume rouge que vous le trouverez ; ça se termine par une phrase amoureuse et délicate de la part de l’abbé.


[70.]

Note sur la mère d’Émilie. — Émilie dit qu’elle a toujours passé pour la fille d’un partisan enrichi par le système de Law. Son père putatif, M. de Valrose, poursuivit sa fortune après Law et devint riche à plus de dix millions. Mais ce père-là n’est point le sien ; elle déteste ce père-là dès le commencement de sa naissance. Elle se dit fille unique de ce M. de Valrose, à qui elle donne le titre de marquis. Sénarpont lui dit qu’elle est à la fois sa nièce et sa fille, parce que Mme  de Valrose, mère d’Émilie, est sa sœur, et qu’il a couché avec cette sœur. L’intrigue de Sénarpont avec cette sœur, fort belle, a été très courte. Sa mère a trente-cinq ans, lorsqu’elle va chez Sénarpont, et Émilie doit en avoir quinze.


[71.]

Sénarpont avait dépucelé sa sœur à dix-sept ans, et il en a eu Émilie ; donc Mme  de Valrose ne doit avoir que trente-deux ans[46], et non pas trente-cinq, comme vous les lui donnez : corrigez cela[47]. Émilie, née Sénarpont, fut mise sur le compte de M. de Valrose. Émilie s’annonce pour détester sa mère ; elle s’irrite lubriquement contre elle ; elle a regretté de n’avoir qu’une mère : elle aurait voulu en immoler deux. Il faudra rappeler ce trait-là, puisque vous lui en faites retrouver une seconde. Cette mère d’Émilie avait sauvé la vie à Sénarpont, et ce monstre l’avait prostituée dans tous les bordels de Paris. Quand il la maria à M. de Valrose, c’était dans l’espoir de se rendre maître et tyran de cette maison. M. de Valrose sait bien qu’Émilie est fille de Sénarpont. Émilie a contribué aux tourments de sa mère ; elle a bu son sang ; elle a supplicié et fait périr sa mère du tourment chinois, qui consiste à enlever les sept peaux du corps ; et elle a dévoré son cœur. Donc il est clair que sa mère ne s’est pas sauvée et qu’elle est morte au château de Sénarpont. Ces détails sont à la fin du dixième cahier des mémoires de Valrose.

Voyez, à la fin du cahier, tout ce qui tient à l’éclaircissement de la naissance d’Émilie.


[72.]

C’est toujours à la fin du volume que se place la phrase de liaison. Le second volume de Valrose finit la onzième journée, et c’est toujours jusqu’à la fin du deuxième volume, au fond du labyrinthe, qu’Émilie raconte son histoire. Le troisième volume finit la douzième journée et le dixième chapitre.


[73.]

Note essentielle. — Observez bien qu’Émilie doit toujours s’appeler Volnange, et jamais Valrose[48].


[74.]

Le quatrième volume s’est commencé le 21 janvier ; il commence la treizième journée et le onzième chapitre.


[75.]

Vous l’appelez Valrose ; quelquefois c’est Volnange. Corrigez cela.


[76[49].]

Ne l’appelez jamais Valrose dans le cours de ses mémoires ; toujours Émilie. Il y a à corriger sur cela.


[77.]

Au cinquante-neuvième cahier, je crois qu’il y a une contradiction. Émilie dit qu’elle ne peut ni voir, ni parler secrètement à Mathilde, quand elles sont toutes deux chez le Juif, et je crois que plus haut, elles se sont parlé à leur aise. Corrigez cela, si ça y est.


[78.]

J’observe que le séjour chez Noémi est beaucoup trop long.


[79.]

Je remarque que Mathilde agit à Florence d’une manière peu conséquente au portrait que vous faites d’elle quand elle y arrive.


[80.]

Le nom de Fallieri n’est pas également écrit partout. Il faut mettre Fallieri.


[81.]

Prenez garde que vous dites qu’Eudoxie est fille d’un riche négociant de Marseille ; soutenez cela.


[82.]

Modose a pour interlocuteur, dans le dialogue, Eugène et Flavie, l’un de quinze ans, l’autre de seize, qui sont ses bâtards, fils [et fille] de Mme  de Mirval ; Augustin, son valet de chambre, est aussi interlocuteur, il a dix-neuf ans.


[83.]

Personnages des dialogues. — Émilie, trente-deux ans (doit avoir davantage) ; Modose, son amant, trente-huit ans ; Eugène et Flavie, enfants de Modose, le premier quinze ans, l’autre seize ; Augustine, dix-neuf ans ; Eudoxie, fille d’un riche négociant de Marseille, amie d’Émilie, dix-sept ans ; quelques personnages secondaires.


[84.]

La mère des enfants de Modose était fort belle ; elle a été envoyée à Paris, grosse, sous la conduite d’Oella de Belgorod.


[85.]

Après soixante-six pages de dialogue, Modose lit le morceau intitulé : Religion. Ce morceau, Religion, tient depuis 69 jusqu’à 130.

Alors les dialogues reprennent jusqu’à 134. Cela termine la première journée.

Le commencement de la deuxième est le morceau sur l’âme, qui prend de 139 à 192[50].

Les dialogues reprennent de 192 à 197, Ensuite Modose reprend le morceau sur Dieu, qui prend de 198 à 300.

Cinq pages de dialogues terminent le premier volume.


[86.]
Second volume.

Le traité de morale commence le deuxième volume et tient jusqu’à la page 174 ; c’est divisé par sections. Ensuite prend le cinquième dialogue, dans lequel Eudoxie se montre toujours un peu prude ; dans ce dialogue est la rencontre d’un bûcheron. Ce dialogue finit par la détention du saint ermite. Puis commence l’art de jouir, qui prend depuis la page 199 d’abord, jusqu’à la fin du second volume, lequel termine la cinquième journée.


[87.]
Troisième volume.

Vénus impudique ou l’art de jouir reprend au commencement du troisième volume, jusqu’à la page 247. Cette dissertation se termine par les cris de l’ermite. On redouble… fort. Ensuite vient le sixième dialogue qui, par dix-huit ou vingt pages, termine le troisième volume. Dans ce dialogue, Eudoxie est vivement menacée par Modose ; les enfants de Modose s’y montrent très libertins ; Eudoxie est fouettée. Là, se passe l’interrogatoire de l’ermite ; on lui fait éprouver mille horreurs (là, Flavie se montre très cruelle) ; son supplice dure sept heures. Eudoxie vit toujours ; elle a été malmenée, mais elle est toujours bien saine, et tenant toujours à ses préjugés. Ce volume finit par la promesse que fait Adèle (10) de raconter ses aventures, et son histoire commence le quatrième volume. C’est celle-là dont les sept premiers cahiers ont été brûlés, et la fin prise ; elle est refaite en soixante-douze cahiers, elle forme quatre gros volumes.


[88.]
Septième volume.

Au commencement du septième volume est, dans le dialogue qui termine le sixième et qui est au commencement du septième, est, dis-je, la mort d’Eudoxie et les trois premiers chapitres de l’histoire d’Amélie de Valrose.


[89.]
Huitième volume.

Le huitième volume contient le quatrième chapitre de l’histoire d’Amélie.


[90.]

Je crois qu’il y a eu deux supplices d’oubliés :

Celui du tourniquet, au moyen duquel on peut comprimer à volonté tous les membres, et même le corps entier de la victime, à volonté et par gradation. Quelqu’un fait agir le tourniquet et quatre libertins se branlent en face.

L’autre, celui du vase de porphyre, où la victime veut chier. On l’attend là ; ce vase est dans une grande galerie. Dès qu’elle a fait, on la poursuit à grands coups de fouet de poste ; une trappe s’enfonce ; elle tombe dans un brasier ardent, où elle se consume.


[91[51].]

Voilà le discours d’Hélène de Sénarpont à Émilie :

— C’est à votre nom et au signe que vous portez sur le bras gauche que je vous reconnais pour ma fille. Voici le fait. Sénarpont eut deux sœurs : Hélène de Sénarpont et Thérèse de Sénarpont.

Je suis la première, Thérèse la seconde, et c’est Thérèse que Sénarpont maria à M. de Valrose. Sénarpont coucha avec ses deux sœurs, et eut une fille de chacune. L’une fut nommée Émilie : c’est vous ; l’autre Félicité : c’est celle qui m’accompagne, mais Félicité doit le jour à Thérèse, et vous à moi. Je vais encore éclaircir la cause de cette supposition de ma part. Sénarpont voulait faire de ses deux filles ce qu’il avait fait de ses deux sœurs, mais son intention était de sacrifier de très bonne heure à sa destructive passion la moins jolie des deux enfants, et de laisser arriver l’autre à l’âge de beauté. Vous étiez celle qu’avait le mieux favorisée la nature, celle qui promettait davantage. En conséquence, il fit enlever clandestinement Félicité au berceau et vous mit à sa place, afin qu’élevée par sa sœur Thérèse de Valrose, vous fussiez en quelque façon garantie de ses fureurs, au moins, comme je vous le disais tout à l’heure, jusqu’à l’âge de quinze ou seize ans, ce qu’il se sentait peu capable de faire, si vous fussiez restée avec moi, qu’il gardait près de lui. Dès que Félicité eut atteint l’âge de sept ans (et j’avais bien, mais sans oser le dire, reconnu qu’elle n’était pas ma fille, puisqu’elle n’avait pas au bras le signe qui caractérisait la mienne), dès que, dis-je, elle eut atteint l’âge de sept ans, Sénarpont me déclara ses infâmes projets : c’est ce qui nous fit sauver toutes deux. Vous savez le reste de nos aventures. Je voulais seulement prouver, comme je viens de le faire, que vous êtes ma fille et non celle de Thérèse, et que vous êtes sœur de Félicité, puisqu’elle est, comme vous, fille du marquis de Sénarpont, ce qui, par les crimes de cet homme affreux, vous rend à la fois sœurs et cousines germaines (11).

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


[92.]
Souvenirs.

En finissant la narration de Roxane à Zolbar, il faut bien motiver les raisons qui faisaient que le capitaine du navire assurait qu’elle valait plus de cent mille écus pour lui.

Il faut rompre aussi toutes ses connaissances à cette époque, afin que la note de l’éditeur se trouve juste, qu’elle ne retrouve ni ne puisse retrouver personne, pour ôter l’envie de continuer cette histoire.


[93.]

Le flambeau sous le con est mis deux ou trois fois : il faut le retrancher et ne le laisser qu’au château de Colli.


[94.]

Il faut aussi retrancher chez Sénarpont les profanations d’hostie, pour ne les laisser que quand il court les aventures.


[95.]

Il n’y aurait pas de mal non plus de retrancher tout ce qui tient au couvent et aux pensionnaires, dans les fêtes de Sénarpont, pour rejeter tout cela dans les aventures.

En général, les fêtes de Sénarpont sont trop brillantes pour un commencement.


[96.]

Ne faites pas commencer Valrose si jeune, ou filez mieux le temps, car, au huitième livre, à peine a-t-il vingt ans, si vous le faites venir à Florbelle à trente-six ans. Filez le temps davantage à Modène. Quand Roxane commence son récit à Zolbar, qu’elle dise bien que c’est Joseph qui les avait trahis, qu’elle dise qu’elle en a persuadé Sandieu, car, sans cela, cette trahison retomberait sur Valrose. Je crois que vous le faites rester trois ans à Modène : vous pourriez l’y faire rester plus longtemps : il y arriva à vingt-cinq ans.


[97.]

Suivez bien exactement tous les souvenirs des feuilles grises.


[98.]

Je crois que c’est à l’histoire de la femme que j’en suis resté, dans le château de Charmeille ; c’est cette histoire qui formera celle de Roxane, en élaguant et en rajustant[52].


[99.]

Souvenez-vous d’appuyer davantage sur [le] corps mort qu’on enterrait aux Dominicains, le jour où Valrose fut faire une partie dans le souterrain, car, dans l’histoire d’Adrienne, il est question du meurtre de ce moine. Dites bien, à cette partie, que ce moine venait d’être assassiné. C’est le même qui produisit une catastrophe à Turin, dans les aventures d’Adrienne ; mais souvenez-vous que ce ne soit pas les Dominicains : changez cela.

Vous auriez dû faire un discours sur ce qu’on ne doit jamais résister aux penchants qu’on a reçus de la nature ; raison des contradictions qu’on perçoit entre le cœur et l’esprit.

N’oubliez pas que le cardinal de Fleury perdit la marine en France ; ce fut lui qui remplaça M. le duc au ministère, lequel étant père de[s] Condés actuels, devait être frère de Charolais. Il ne doit pas aimer le cardinal ; et Sénarpont doit tenir le milieu entre les deux. Le cardinal mourut à sa campagne, à Issy.


[100.]

Valrose a vingt-huit ans[53] en arrivant à Florence, et Mathilde vingt-deux.


[101.]

Vous avez fait Roxane trop vieille au commencement ; il faut qu’elle soit absolument de l’âge de Valrose.

Mathilde doit avoir six ans de moins que lui, et Roxane le ménage (essentiel).

Roxane, arrêtée avec Sandieu, se sauve, et le fait passer pour son mari. Ils se séparent ; elle devient [maîtresse ?] d’un [du ?] cardinal ; c’est de là où elle reprend son histoire.


[102.]
Personnages divers.

D’hommes. — Octave ; Théodore ; Anastase ; Félix ; Léon ; Jules ; Maxime ; Brisetout ; Cœurderiche ; Valrose ; M. de Valrose ; Dorvil[le], ami de Valrose ; le marquis de Sénarpont ; le cardinal de Fleury ; le comte de Charolais, sous le nom de Jaco ; Dupont, aumônier ; Soubise, Louis XV ; Sandieu ; Joseph ; Sicardi, François, Gonsalvi, Clément son fils, contrebandiers ; le Père Ambroise, capucin ; Ligni, amant d’Adrienne ; Noémi, juif ; Falconi, secrétaire du duc de Toscane ; Frédéric, deuxième duc de Toscane ; Fillieri ; Forli ; Crèvecœur ; Lisle de Zorlan ; Auguste ; Guillaume ; Jacques ; Robert.

De femmes. — Mme  de Valrose ; Adrienne de Valrose ; Mme  de Dorville ; Gertrude ; Adélaïde ; Suzanne ; Laurentia ; Virginie ; Rosa ; Catherine, femme de Sénarpont ; Louis, Jeanne, Marie, filles de Sénarpont ; Zoloé ; Angélique ; la marquise de Roseville ; Claire, Sophie, ses filles ; Clotilde femme de chambre ; Eudoxie ; Neuville ; Clémentine ; Aglaé ; Cécile ; Rosine ; Adélaïde [de] Forlis ; Victorine du Ponceau ; la Mère Sainte-Thérèse ; Émilie[?] du Faille ; Mme  de Nauzel ; Angélique [de] Dorville ; Olympe, Marguerite, femme [de chambre ?] et fille de Mme  de Mauzel ; Charlotte ; Blaisine ; Ursule ; Iseleau ; Adélaïde et Gertrude de Nanteuil ; Roxane ; Isabelle Gonsalvi ; Mme  Léonard ; Donna Héléna ; Mathilde ; Fortunée de Modène ; Eugénie ; Ruth, Moabie, Judith, Rebecca, sœurs de Noémie ; Mère Aldegonde ; Mère Félicité ; Mère Sainte-Thècle ; Mère Sainte-Aure ; Suzanne ; Laurentie, épouse de Forli ; Virginie ; Roza ; Brigide ; Zingua, reine d’Angola ; Zolba ; sa confidente ; Zoé ; Eloïe ; Isménie ; Énoi ; Zoldorie ; Bolema ; Zordis ; Ambroisine, fille de Valrose.


[103.]

Valrose a tué : son père, sa mère, sa sœur, sa maîtresse, le père de sa maîtresse, la sœur de sa maîtresse, sa femme, son beau-père, sa fille, et beaucoup de victimes. Mais il a toujours été fidèle à l’amitié et n’a jamais rien entrepris contre ses deux amies Roxane et Mathilde, non plus que contre François.


[104.]
Fêtes données à Sénarpont.

Le temple de Vénus Callipyge.

La caverne des voleurs où l’on dit la messe.

Bethléem, où il trouve Jésus, sa mère et Élisabeth.

Le mystère de la bonne déesse.

Voleurs, meurtres et vols de grands chemins.

Vol et assassinat commis sur l’un par Jaco.

Temple de Vénus Burbate ou Sodomite.

Couvent de jeunes pensionnaires où ils fouettent.

Rencontre de la charrette du bourreau conduisant des femmes au supplice ; ils en exécutent publiquement sept, dont une grosse.

Ils fouettent de petits garçons dans une pension.

Ferme où ils foutent des animaux ; ils égorgent des enfants au berceau tenus par leur mère.

Ferme où des étalons, des chevaux et des bœufs enconnent des femmes.

Quatre putains passées par les verges ; elles sont grosses et nues. Ils s’amusent avec les soldats qui les exécutent.

Temple de Vénus Anosia, ou Vénus cruelle ; là, pendant trois jours, se font neuf sacrifices. C’est là où Roxane raconte ses aventures.

Ils rencontrent un marchand d’esclaves ; ils en précipitent quatre sur les rochers.

Temple de Bacchus où l’on fait des sacrifices humains, un combat de taureaux par des femmes, et différents feux d’artifice où des enfants sont enlevés [sic] par des bombes et des fusées.

Force délicieuse.

Joséphine ou l’épouse malheureuse, comédie.

Parc rempli d’enfants sur lesquels ils se jettent ; femmes qui servent de buts : on tire des flèches sur elles ; chasse aux femmes.


[105.]

Peut-être faudrait-il, pour bien goûter celle que je dois vous faire, mademoiselle, me dit le saint homme, que je vous crusse très intimement persuadée des grandes vérités de notre sainte religion, mais, malheureusement, je suis prévenu de vos affreux principes, et je dois craindre d’échouer dans mon entreprise. J’oserai pourtant vous dire, mademoiselle, qu’il faut un terrible aveuglement pour se refuser aux grandes et sublimes vérités de la religion chrétienne. Comment ne pas voir qu’elle ne peut être que l’ouvrage de Dieu ? et, si l’on admet ce Dieu saint et sublime, comment ne pas le croire singulièrement irrité des crimes que les hommes se permettent ici-bas ? Si Dieu est le modèle de la vertu, comment ne haïrait-il pas le vice ? S’il le hait, comment ne le punirait-il pas ? Qu’admirons-nous dans les ouvrages de l’Éternel ? N’est-il pas l’ordre profond qui maintient et qui règle tout ce qu’il a créé ? et n’est-ce pas à cet ordre sublime que nous reconnaissons l’image d’un Dieu ? Or, s’il aime l’ordre, s’il le fait régner, celui qui trouble cet ordre (12)......

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

NOTES DE L’ÉDITEUR.


(1)

(2)

(3)

(4)

(5)

(6)

(7)

(8)

(9)

(10)

(11)

(12)

G. L.
  1. En marge : Voyez la suite de l’analyse des volumes, pages cornées.
  2. En marge : Cela est fait à l’exception des détails de la mort de Mme  de Mirval sur lesquels on a jeté un voile.
  3. En marge : On a fini l’histoire d’Adèle (4) tout court.
  4. En marge : Fait.
  5. En marge : Les traités..........    3

    En marge : Modose.........      3

    En marge : Émilie..........    4

    En marge : Émilie..........    

    En marge : Émilie..........    10

  6. En marge : Cela n’a point été évité.
  7. En marge : Elle peut être à la fois nièce et fille de Sénarpont, qui aura eu commerce avec sa sœur.
  8. En marge : Rien de tout cela n’a été fait, et cela va mieux comme je l’ai traité.
  9. En marge : C’est fait.
  10. En marge : Je ne sais si cela est fait.
  11. En marge : Point encore éclairci.
  12. En marge : Essentiel ; on en reparle à la fin.
  13. En marge : C’est fait.
  14. En marge : Deux cahiers sont finis le 26 avril, près de huit semaines : le troisième le 31 mai, à peu près un mois par cahier.

     8 semaines pour deux (ce doit être encore pour soixante-douze semaines).

    18

    18

    18

    18

    72, près de dix-huit mois.

    Ce doit être fini fin octobre 1807.

    La mise au net a commencé le 5 mars 1806 et fini le 25 avril 1807, treize mois et vingt jours.

  15. En marge : Je l’ai fait.
  16. En marge : Point employé.
  17. En marge : Pris.
  18. En marge : N’a pas été fait.
  19. En marge : À couché avec elle.
  20. En marge : Voyez-le.
  21. En marge : Il est très molesté ; il y reste.
  22. En marge : Leur portrait est au cahier IV, deux pages après la moitié.
  23. En marge : Elle n’est plus.
  24. En marge : Il l’est.
  25. En marge : Le cardinal, très vieux.
  26. En marge : Faute.
  27. En marge : Note essentielle.
  28. En marge : C’est le cardinal Fleury.
  29. En marge : On dîne, et, après, se feront les exécutions.
  30. En marge : Note essentielle.
  31. En marge : 17

                  17
                        17
                        17
                        —
                        68

  32. En marge : Il faut mettre Volnange.
  33. En marge : Cela finit le dix-septième cahier, la dixième journée et le premier volume de Valrose.
  34. En marge : Puisqu’elle se nomme, par son mari, Volnange, il vaudrait mieux l’appeler : le château de Volnange.
  35. En marge : Il faut mettre en tête Volnange, au lieu de Valrose, pour éviter le nom en ose.
  36. En marge : Essentiel.
  37. En marge : Très essentiel.
  38. En marge : Le huitième volume est le deuxième de Volnange, le neuvième est le troisième de Volnange, et le dixième est le quatrième de Volnange.
  39. En marge : Fini le 30.
  40. En marge : Roxane a vingt-trois ans.
  41. En marge : Faute à corriger dans l’histoire de Roxane.
  42. En marge : Note essentielle.
  43. En marge : Cela a fini le 25 avril.
  44. En marge : Note.
  45. En marge : Mais Volnange n’est-il pas le nom pris ?
  46. En marge : 17

                  15
                        —
                        32

  47. En marge : Faute à corriger, mais il ne faut pas rendre non plus Émilie trop jeune quand elle finit ; la durée de son histoire aurait été trop courte.
  48. En marge : Encore un coup, prenez garde que le nom soit celui qui a été pris.
  49. En marge : Note essentielle.
  50. En marge : Tout cela est en note plus haut.
  51. En marge : Hélène, Thérèse, Félicité, Émilie.
  52. En marge : C’est celle-ci entière qui forme l’histoire de Mme  de Valrose.
  53. En marge : Je lui ai donné trente ans.