Œuvres poétiques de Chénier (Moland, 1889)/C’est un bienfait du ciel

Œuvres poétiques, Texte établi par Louis MolandGarnierVolume 2 (p. 338).

XXIV[1]


C’est un bienfait du ciel que les hommes qui ne sentent pas et qui ne pratiquent pas la vertu ne sauraient la peindre sans grimace et ne plaisent qu’à leurs pareils.

  1. Publié dans l’édition de 1840.