À madame Bonaparte-Wyses (O. C. Élisa Mercœur)


À Mme BONAPARTE-WYSES [1].

Héritière d’un nom d’éternelle mémoire,
Puissiez-vous obtenir ce que vous méritez,
          Un bonheur semblable à la gloire
          De ce grand nom que vous portez !


(1er Janvier 1834.)
  1. Lors de l’inauguration de la statue de Napoléon sur la colonne, Élisa commença une ode qu’elle avait l’intention de dédier à madame Bonaparte-Wyses, fille de Lucien Bonaparte ; elle en avait fait quatre-vingts et quelques vers ; mais, comme elle ne les avait pas écrits et qu’il m’a été impossible de me les rappeler, je n’ai pu les joindre aux Œuvres, et j’en ai bien du regret, car cette ode était aussi grandiose que le sujet.