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Plaisantes ruses et cabales de trois bourgeoises. VII, 19.

Plaisirs de la noblesse. VII, 303.

Planto (Le colonel Otho). IX, 98.

Pois pilez. VIII, 81.

Poitou (Académie de Larrons en). VIII, 153–154.

Polichinel. I, 355.

Pologne (Le roi de). IX, 91.

Poltrot. Son interrogatoire. VIII, 5.

Pontalais (Jean du). III, 141.

Le vrai nom de ce farceur étoit Jehan de l’Espine du Pont-Alletz, et son surnom Songe-creux, comme nous l’avons appris par la mention d’un présent de 223 livres tournois que lui fit François Ier, devant qui il avoit joué des farces. (V. L. Lacour, Œuvres de Des Périers, t. II, 134, note.) Ce surnom me fit penser que les Contreditz de Songe-creux, toujours prêtés à Gringore, bien qu’ils ne fussent pas dans sa manière, pourroient bien être de Pontalais ; je le dis dans l’Introduction aux Chansons de Gaultier Garguille, p. lxxix, et peu de temps après je fus heureux de voir que M. Ch. d’Héricault avoit approuvé cette conjecture. C’est sous le nom de Pontalais, et non sous celui de Gringore, qu’il a donné des extraits des Contreditz dans le t. I, p. 531–540, du recueil des Poëtes français de M. Crépet. Notre littérature de la fin du XVe siècle et du commencement du XVIe retrouve ainsi un poëte de plus.

Pont-Breton des procureurs. VI, 253.

Pont-de-Courlay (M. de). IX, 31 ; X, 229, 230.

Pont-Neuf frondé. III, 337.

Pontoise. I, 75, etc.

Porte (De la), grand prieur de France. VII, 217.