TOME III
Page 185, l. 1 : Prologve dv qvart livre. Ce prologue est celui de l’édition de 1548. Voyez la Bibliographie.
L. 10 : Trois motz. Les trois mots : do, dico, addico, qui se trouvent expliqués quelques lignes plus bas, reviennent p. 186-189 en tête des trois alinéas : Vous me donnez… Vous dictes… Vous adiugez.
L. 19 : Gens de bien, ie ne vous peulx voir ! Voyez ci-dessus, p. 268, note sur la l. 7 de la p. 253.*
* Gens de bien… Ie ne vous peuz veoir. Voyez ci-dessus, p. 168, la note sur la l. 3 de la p. 232.* Cette espèce de dicton a été bien souvent répétée : « Ha ! gens de bien, ie ne vous puis voir, mon chappeau eſt percé. » (Du Fail, t. I, p. 297.) — « Bonnes gens, je ne vous puis voir, comme dit Maiſtre François dans ſon livre. » (La Fontaine, Lettres, au prince de Conti, nov. 1689)
Page 186, l. 4 : Breuiaire. Probablement un bréviaire du genre de ceux dont Rabelais nous a déjà parlé. Voyez ci-dessus, p. 77, note sur la l. 15 de la p. 21.*
L. 15 : Prodige qui aduint en Bretaigne. « Nos historiens remarquent que ce combat de geais & de pies arriva en 1488, peu de jours avant la bataille de Saint-Aubin, de laquelle il fut comme le présage. » (Le Duchat) Il est du reste souvent question, dans nos anciens auteurs, de combats de ce genre.
Page 187, l. 2 : Noelz, en langaige Poitieuin.