Page:Banville - Les Parisiennes de Paris.djvu/341

Cette page a été validée par deux contributeurs.
Les Noces de Médéric 167
   Chapitre Ier. — Où l’auteur, éminemment coloriste, prouve qu’il n’appartient pas à l’École du bon sens, et insinue qu’il possède un dictionnaire des Rimes françaises
167
   Chapitre II. — Où l’auteur, qui a lu les romans de Méry, et qui tient à étaler son érudition, met en scène des Chinois et un Suisse qui étonneront M. Stanislas Julien et feu M. Toppfer
170
   Chapitre III. — Où Médéric regrette ses chandeliers, ses poteries, mademoiselle Ninette, mademoiselle Louisa, et une femme du monde qui désire garder l’anonyme
174
   Chapitre IV. — Apothéose triomphante de Naïs, crêpe bleu, lycopode et feux de Bengale
178
   Chapitre V et dernier. — Le roman finit au moment où M. Bouquet allait devenir intéressant
181
Un Valet comme on n’en voit pas 185
La Vie et la Mort de Minette 207
Sylvanie 259
Le Festin des Titans 287
Conte pour faire peur 311
L’Illustre Théâtre 323


Imprimerie L. Toinon et Cie, à Saint-Germain.