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IX



Pages
I. 
Comme un soldat blessé tu peux panser ta plaie 
 193
II. 
Les vieux soldats romains, lorsque dans la cité 
 194
III. 
Dans la salle où je vis, dont la large fenêtre 
 195
IV. 
Lorsque le glaive d’or du matin extermine 
 196
V. 
Avant que les rayons ne blanchissent les voiles 
 197
VI. 
Quand l’hiver sur le pôle a clos sa longue nuit 
 198
VII. 
Les coursiers emportés que l’Aurore conduit 
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VIII. 
Je te vis dans un rêve après un triste adieu 
 200
IX. 
Si nous nous revoyons avant que de mourir 
 201
X. 
Va ! tu triompheras, ô noble bien-aimée 
 202
XI. 
Alors je serai seul à souffrir ! Je prendrai 
 203
XII. 
Je vieillirai pareil aux chênes du pays 
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XIII. 
Et lorsqu’à mes rameaux moins touffus et moins verts 
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XIV. 
Ah ! chers instants du cœur conservés dans ces vers 
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