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Pages
XIII.
Un seringat fleurit dans un jardin pensif
XIV.
Ô jour par qui j’aurai vécu digne d’envie
XV.
Voici ce que je vois sur l’étrange verrière
XVI.
Mon cœur était un marbre en une ronceraie
XVII.
Ta bouche si longtemps rebelle à mon amour
XVIII.
Quand ton premier baiser se posa sur mon front
XIX.
Parfois les mots ardents, jaillissant à flots clairs
XX.
C’était un petit bois sur un coteau moyen
XXI.
Rosier blanc, dont les jets emmêlés et hardis
XXII.
Petit village agreste et clos de monticules
XXIII.
L’aube s’épanouit en clartés adarables
XXIV.
Le parc noircit, au bout de l’immense avenue
XXV.
Une lueur au ciel est mauve comme un col
XXVI.
La petite maison auprès de la rivière
XXVII.
Que ce sommet ressemble aux galères royales
XXVIII.
Sculpteur, regarde bien cette face, pour rendre
XXIX.
J’ai, dès les premiers jours, deviné que ta vie
XXX.
Orgueilleuse ! tu veux pour toi-même être aimée
XXXI.
Oui ! La Pitié vers toi m’a conduit ! Je la vis
XXXII.
Oui ! La Pitié vers toi m’a conduit ! Nous marchâmes
XXXIII.
Tandis que les rayons tombaient intarissables
XXXIV.
Viens chercher sur mon sein le calme du sommeil
XXXV.
Il disait qu’il t’aimait celui qui prit ta vie
XXXVI.
Son sourire et ses yeux sont l’étoile du soir
XXXVII.
Ma chère bien-aimée, as-tu vu, vers la nuit